Canva n’est pas le bon outil…

Avec plus d’un milliard d’utilisateurs revendiqués, 220 millions d’utilisateurs mensuels, 5 000 collaborateurs de par le monde, un logiciel phare accessible gratuitement pour les particuliers avec des fonctionnalités limitées sur tablette, smartphone ou n’importe quel ordinateur personnel permettant d’accéder à internet, des versions payantes pouvant répondre aux besoins les plus divers, une réserve de modèles variés alimentée par les utilisateurs, l’accès aux banques d’images et d’illustrations Pixabay et Pexels qu’il a racheté, l’acquisition de Serif – l’éditeur des logiciels Affinity que nous utilisons au quotidien – au printemps de cette année puis, fin juillet, de la plateforme de génération de contenu Leonardo, Canva est devenu, en une douzaine d’années, un des poids lourds de la création graphique.

Nous n’aimons pas Canva et facturons, sans états d’âme, des frais de mise au format / mise au normes / corrections colorimétriques / remplacement d’éléments visuels et autres à nos clients qui désirent imprimer « leurs » créations sur nos équipements ou, quand c’est une meilleure solution technique ou économique, chez les prestataires avec lesquels nous travaillons. Continuer la lecture de « Canva n’est pas le bon outil… »

La prise de rendez-vous fait peau neuve…

Les divers modules de notre site internet sont mis à jour régulièrement…

Ces mises à jour apportent  souvent des améliorations de sécurité et de stabilité, parfois des corrections de bogues et, plus rarement, de nouvelles fonctionnalités, nouvelles fonctionnalités réelles mais invisibles aux yeux de celui ou celle qui visite notre site.

Dans sa dernière mise à jour, le module qui gère la prise de nos rendez-vous en ligne à reçu une nouvelle interface utilisateur… et des choses qui n’étaient pas paramétrables le sont devenu. Continuer la lecture de « La prise de rendez-vous fait peau neuve… »

Mises à jour…

A un rythme un peu forcé, nous avons procédé ce week-end à la mise à jour de plusieurs pages de notre site :

    • correction du bug détecté vendredi sur les calculateurs de prix pour les impressions numériques laser ;
    • ajout des Crownboard Prestige blanc et Crownboard Craft blanc pour les chevalets des calendriers et albums et dos des calendriers à accrocher.

D’autres mises à jour sont prévues prochainement.

Fallait bien qu’ça arrive…

WordPress, qui propulse nos sites, a reçu une grosse mis a jour il y a une dizaine de jours et, depuis, les différents modules que nous utilisons sont, à leur tour, mis à jour à un rythme soutenu.

Ce n’est pas souvent que ça arrive… mais on ne peut pas dire que ça n’arrive jamais : un des modules utilisés par la boutique a provoqué un plantage en règle de la boutique après la mise à jour d’aujourd’hui…

Le module a été identifié et désactivé jusqu’à ce que l’éditeur du module corrige le problème… et, vu sa réactivité, la correction devrait arriver vite.

Bien sûr, ça a des conséquences, mais il est possible de contourner le problème.

 

Edit du 22 novembre

Le module en question a été, comme prévu, mis à jour ce matin pour « corriger une erreur critique ».

Il a été réactivé, testé et la boutique fonctionne à nouveau normalement.

Une dure réalité…

Mi-septembre, France 5 diffusait un reportage très intéressant sur l’utilisation des cartons et sacs en papier. Pendant 52 minutes, Hugo Clément y découvre une dure réalité : la France exporte une partie de ses déchets de papier à l’autre bout du monde pour y être recyclés, une bonne part des emballages en papier sont réalisés à partir de pâte vierge et non de papier recyclé, les gobelets en cartons contiennent du plastique, l’industrie papetière est une industrie lourde polluante, les labels soit disant écologiques ne le sont pas tant que ça…

Pour qui s’intéresse au papier et à sa fabrication, ces révélations n’en sont pas vraiment… ce qui n’enlève rien à la qualité du reportage. Continuer la lecture de « Une dure réalité… »

Du papier, encore du papier…

Plusieurs nouveaux papiers pour l’impression numérique laser et la réalisation de couvertures et chevalets pour calendriers sont en chemin :

    • les Inapa Creation Vergé blanc antique et blanc neige en 210 g pour proposer un papier vergé moins épais que l’Ambassador Laid Extra blanc 300 g ;
    • les Peau d’âne Lilas et Vert clair en 250 g complètent des 4 coloris que nous proposons déjà ;
    • les Nautilus Classic blanc en 80 g, 120 g et 160 g pour les travaux sur papier recyclé qui demandent un papier plus léger / moins épais que les 250 g et 300 g  ;
    • le Favini Remake Sand en 250 g fabriqué avec des résidus de cuir et de fibres recyclés pour la réalisation de cartes… la gamme Remake compte 5 coloris – dont un noir et un marron foncé – et est disponible chez notre fournisseur également en 120 g et en 380 g ;
    • les Stardream Blanc quartz et Ivoire en 285 g sont des papiers métallisés dans le même esprit que le Curious Metallics ;
    • les Kraftpack New brun naturel en 258 g, 302 g et 340 g sont une alternative économique, plus légère et plus rigide, au Kraft Canson pour la réalisation des chevalets pour calendriers ;
    • les Crowboard Prestige blanc en 340 g et Craft blanc en 345 g sont des papiers destinés à la réalisation de chevalet. Ces papiers sont, à grammage identique, plus épais et plus rigide que la Carte satin blanc que nous proposons actuellement, la version Craft est bicolore, une face blanche, une face kraft.

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Nouveaux papiers en approche

Nous l’avions annoncé il y a un moment, nous avons dû différer son achat… le papier Fuji Fine art mat 230 g pour les tirages petits formats et épreuves a été livré ce matin. C’est, comme nous l’avions indiqué, un papier à base fibre, non marqué au dos.

Nous avons fait le choix de n’approvisionner ce papier, que Fuji n’importait plus en France, qu’en 20,3 cm de large – notre fournisseur le propose également en 15,2 cm de large.

La production des échantillons et la mise à jour du site va prendre un peu de temps.

Plusieurs autres papiers destinés à l’impression numérique laser et à la réalisation de couvertures et chevalets sont en approche, nous y reviendrons prochainement.

 

Edit du 9 octobre

Nous avons mesuré la densité maximale du papier Fuji Fine art mat : 1,45…

C’est bien moins que les papiers brillant et lustré du même Fuji, mais un poil mieux que le Mediajet Litho Archiv Matt. Le papier est très blanc, un peu froid, et l’impression parait aussi noir qu’avec l’Hahnemülhe UltraSmooth dont la Dmax est de 1,68 avec les encres pigmentaires Epson UltraChrome Pro 12.

De la tenue des impressions à la lumière

La durée de vie des impressions est un sujet auquel nous accordons une grande importance et auquel nous avons déjà consacré quelques billets de blog.

Pour les impressions photo et fine-art, le Wilhelm Imaging Research procède à des tests dont il rend public les résultats et dont nous nous sommes fait, à de multiples reprise, l’écho. Certains tests datent un peu, les supports d’impression des fabricants tiers, comme Canson et Hahnemülhe, ne sont pas systématiquement mesurés, mais les tests du WIR ont le mérite d’exister.

Nous ne faisons pas que de l’impression photo… il nous arrive de concevoir, pour nos clients, des flyers, des affiches, des cartes de visite et d’autres documents qui sont imprimés, en fonction des formats, quantités, supports, finitions, délais et prix, sur nos équipements, le plus souvent, et parfois chez l’un ou l’autre de nos prestataires. Continuer la lecture de « De la tenue des impressions à la lumière »

Nous étions 15000…

Nous étions 15000 commerçants et artisans, et un certain nombre de collectivités et d’entreprises, à avoir adhéré au projet de Beegift : un système de chèques cadeau, valable dans toute la France, chez des commerçants et artisans locaux.

Nous étions peu nombreux en Haute-Saône, la CCI ayant fait un autre choix, mais il était très facile d’utiliser les chèques cadeaux Beegift dans les départements voisins.

Nous espérons que celles et ceux qui avaient acheté des chèques cadeaux en ont été mieux informés que nous : la société Beegift a été mise en liquidation mi-juin et les commerçants et artisans qui avaient adhéré à ce réseau ne peuvent plus accepter ces chèques cadeau.

Vous avez encore un / des chèques cadeau Beegift que vous n’avez pas pu utiliser ? Ne les jetez pas (encore), une solution est recherchée actuellement par des partenaires de Beegift pour que les chèques cadeau encore en circulation puissent être utilisés. Nous ignorons si nous pourrons ou non les accepter à nouveau – nous n’avons pas été informé des difficultés de Beegift et il est probable que nous ne sommes pas les seuls – mais, bien évidemment, si c’est possible, nous le ferons.

Début de bicentenaire…

Il y a 200 ans et quelques jours, le 16 septembre 1826, Joseph Nicéphore Niepce écrivait à son frère Claude “Depuis ma dernière lettre, j’ai été un peu contrarié par le mauvais temps : malgré cela, j’ai la satisfaction de pouvoir t’annoncer enfin qu’à l’aide du perfectionnement de mes procédés, je suis parvenu à obtenir un point de vue tel que je pouvais le désirer, et que je n’osais guère pourtant m’en flatter, parce que jusqu’ici, je n’avais eu que des résultats fort incomplets. Ce point de vue a été pris de ta chambre du côté du Gras ; et je me suis servi à cet effet de ma plus grande c.o. (camera obscura, NDLR) et de ma plus grande pierre. L’image des objets s’y trouve représentée avec une netteté, une fidélité étonnantes, jusque dans ses moindres détails, et avec leurs nuances les plus délicates. Comme cette contre-épreuve n’est presque pas colorée, on ne peut bien juger de l’effet qu’en regardant la pierre obliquement : c’est alors qu’il devient sensible à l’œil, à l’aide des ombres et des reflets de lumière ; et cet effet, je puis le dire, mon cher ami, a vraiment quelque chose de magique.”

De cette première photographie, sur pierre lithographique, la lettre de Niepce à son frère est la seule trace. Il est probable que Niepce, comme tous les lithographes, nettoyait et réutilisait ses pierres…

Sans vestige, difficile de dater une invention… Le bicentenaire de la photographie sera donc célébré, à Chalon sur Saône, en France et dans le monde au début de l’été 2027, 200 ans après la réalisation du Point du vue du Gras, la première photographie qui nous soit parvenue.

Et, le 7 janvier 2039, on célèbrera le don de la photographie au monde par la France, annoncé par François Arago devant l’Académie des sciences.

En 200 ans, les évolutions techniques se sont succédées, le bitume de Judée et la pierre lithographique ont laissé la place au silicium, la conservation de l’image se fait dans un autre petit morceau de silicium ou dans les nuages – de silicium –, on regarde les images sur des petits bouts de verre qui protègent une mince couche de molécules organiques et, parfois, exceptionnellement, on met sur un support physique les meilleures images.