FAQ

Vous ne recevez que sur rendez-vous…

L’accueil de nos clients dans les meilleurs conditions est notre priorité, que nos clients ne nous voient que via notre site internet ou qu’ils préfèrent le contact humain dans notre atelier.

La retouche d’images, les travaux de coupe et de finition et la confidentialité des travaux qui nous sont confiés – et, même si elles se sont fortement assouplies, le respect d’un minimum de règles sanitaires – nous imposent de travailler dans des conditions incompatibles avec le libre accueil de clients dans nos locaux.

L’accueil sur rendez-vous est la moins mauvaise des solutions que nous ayons trouvé.

Comment prendre rendez-vous ?

Prendre rendez-vous, il n’y a rien de plus simple : il y a les méthodes classiques par téléphone – en notre absence ou si nous ne pouvons répondre, un répondeur prend le relais –, courriel et formulaire de contact… et il est également possible de prendre-vous en ligne – le système a ses limites : il n’est possible ni de prendre rendez-vous pour tôt le matin pour la fin de journée ni de prendre rendez-vous en dehors de nos horaires d’ouverture habituels.

Et sans rendez-vous ?

Passer à notre atelier n’est pas forcément la meilleure méthode : nous pouvons ne pas être en mesure de vous répondre, parce que nous sommes déjà en rendez-vous ou pour d’autres raisons, même pour une simple prise de rendez-vous…

C’était exceptionnel mais il nous est déjà arrivé de devoir demander à un client sans rendez-vous de revenir plus tard parce que nous ne pouvions pas faire autrement… et nous ne souhaitons pas que ça nous arrive à nouveau.

Enfin, notre présence dans notre atelier est fonction de notre production et de nos rendez-vous et nous pouvons avoir des rendez-vous à l’extérieur. Le risque de trouver porte close n’est pas nul…

Et le samedi ?

S’il est possible que nous passions à notre atelier le samedi, nous n’y assurons pas de production ce jour là, hors contrainte particulière…

Vous n’êtes disponible que le samedi ? Vous devez ce cas prendre rendez-vous par téléphone, par courriel ou par formulaire de contact – il est impossible de prendre rendez-vous en ligne pour le samedi – et nous essayerons de trouver un créneau pour vous recevoir.

Attention, les messages laissés sur notre répondeur téléphonique le vendredi après 18 h peuvent n’être relevé que le lundi vers en fin de matinée…

Et pour les photos d'identité ?

Les photos d’identité comme les mini-portraits nécessitent un petit aménagement de nos locaux et, surtout, que nos équipements de production soient disponibles : la prise de rendez-vous est indispensable…

Cette prise de rendez-vous nous permet également de donner les indispensables consignes préalables

Je ne comprends pas ce que vous faites…

Notre métier, c’est d’imprimer des photos… et, accessoirement, d’autres documents. Ce qui est l’équivalent, avec les moyens techniques actuels, du laboratoire photographique de l’ère argentique.

En pratique, cela veut dire que

    • nous imprimons – tirons – les images faites avec des appareils photo numériques de tous type y compris les smartphones ;
    • nous procédons aux ajustements / traitements / retouches préalables à l’impression ;
    • nous réalisons des livres photo, des calendriers, des cartes postales…
    • nous numérisons les photos, que ce soit d’anciens tirages papier, des diapositives de toutes tailles, des négatifs… mais aussi des tableaux, des affiches, des plans…
    • nous imprimons des faire-part, cartes de visite, cartons d’invitation sur papier photo ou en impression numérique laser ;
    • nous créons des affiches, des posters et autres documents pour impression sur nos équipements ou à l’extérieur ;
    • nous pouvons vous aider à utiliser des logiciels graphique, utiliser au mieux votre appareil photo, calibrer votre chaine graphique…
    • et, accessoirement, nous réalisons des photos d’identité et des mini-portraits.

Mais nous ne vendons pas de film photo, d’appareil jetable, de papier, nous ne développons pas de film argentique,  nous ne faisons pas ni photos de mariage ni photos scolaires…

Est-ce que ce que vous faites est fait pour moi ?

Nous travaillons pour 3 types de clients :

    • les professionnels, photographes ou non, ils ont de fortes contraintes de prix, qualité, délai et, souvent, confidentialité ;
    • les photographes amateurs et les artistes pour qui le soin apporté à leurs créations est aussi primordial que les conseils que nous pouvons leur fournir pour que leurs œuvres soient mises en valeur, que le choix de technologies et de supports d’impression que nous proposons et que la conservation de leurs tirages. Certains finalisent leurs images, d’autres nous confient tout ou partie des traitements, des retouches, de la mise en page ;
    • les particuliers enfin, qu’ils fassent des photos avec un compact numérique, un reflex, un hybride ou un smartphone ou qu’ils aient, dans leurs tiroirs, des photos papier ou des diapositives dont ils souhaitent obtenir des agrandissements, des images numériques, des calendriers, des livres ou d’autres documents.

Il est probable que vous rentriez dans l’une ou l’autre de ces catégories, alors oui, nous pouvons travailler pour vous.

Est-ce que vous pouvez encadrer la photo / la gravure / le dessin que j'ai déjà ? Est-ce que vous pouvez monter sur châssis la toile que l'on m'a offerte ? Est-ce que vous pouvez contrecoller / plastifier l'affiche que j'ai acheté ?

Pour des raisons inconnues, les moteurs de recherche nous font ressortir dans la liste des encadreurs…

Nous ne sommes pas encadreur et, à commencer parce que nous ne pouvons pas nous fournir à prix raisonnable, ne vendons pas de cadres – mais nos fournisseurs sont en mesure de nous fournir, cher, et une bonne partie de nos équipements de finition sont les mêmes que ceux des encadreurs.

Vous avez un document à encadrer  et vous avez le cadre ? Nous pouvons peut-être faire quelque chose pour vous.

Vous souhaitez nous confier le tirage d’une photo pour l’encadrer ensuite ? Achetez le cadre qui vous convient et nous ferons pour que ça marche.

Vous souhaitez faire faire un (des) cadre(s) dans des dimensions « hors standards courants » – les cadres 30 × 45 et 50 × 75 sont assez difficiles à trouver –, nous pouvons vous aider.

De même, si vous avez un photo ou un tableau imprimée sur toile non montée, nous pouvons la monter sur châssis… Nous n’avons pas toutes les dimensions de châssis en stock mais nous pouvons avoir – les dimensions standard vont de 16 cm à 2 m pour les baguettes de 46 × 17 mm… et il est possible de faire du sur mesure.

Il en est de même pour le contrecollage ou la plastification de documents… le support de contrecollage doit obligatoirement adapté au document à contrecoller – le support doit faire quelques millimètres de moins que le document et le document recoupé après contrecollage.

Est-ce que ce que vous pouvez imprimer des photos qui sont sur mon téléphone ? des photos que j'ai trouvé sur Internet ? des documents que j'ai téléchargé ?

Du moment que vous avez un fichier “image”, nous pouvons l’imprimer… Nous utilisons sans soucis les images au format Jpeg, PNG, HEIF et les fichiers au format PDF et nous pouvons utiliser de nombreux autres formats de fichiers – dont les format raw de nombreux smartphones et appareils photos numériques…

La taille maximale d’impression dépend directement de la taille, en pixels, de l’image… Une image de 1000 pixels de coté permet d’imprimer une image de presque 10 cm de coté… et il est possible, avec des limites, d’interpoler les fichiers – certaines images donnent de meilleurs résultats que d’autres, la technologie actuelle permet d’agrandir les fichiers d’un facteur 6.

Dans tous les cas, vous devez être titulaire des droits de reproduction de l’image que vous voulez imprimer ce qui signifie que vous devez en être l’auteur ou avoir été autorisé par son auteur à la reproduire ou, pour les images trouvées sur Internet, respecter les conditions d’utilisation de ces images et leur copyright éventuel.

Nous vous recommandons de télécharger vous même les images que vous souhaitez que nous imprimions : la récupération d’images sur le web peut demander du temps que nous pourrions être amenés à facturer.

Est-ce que ce que vous pouvez créer des affiches, flyers, invitations, cartes et autres documents pour mon entreprise, mon association, ma collectivité, mon événement familial ?

Notre cœur de métier, c’est le tirage photographique, tirage que nous réalisons sur nos équipements. Et nos équipements permettent de tirer également tous types de documents en petite série.

Vous ne savez pas faire ou n’avez pas envie de faire, nous pouvons le faire pour vous en fonction de vos instructions… Nous pouvons aussi finaliser un travail que vous avez commencé, assurer la conversion de fichiers…

L’impression numérique a de nombreux avantages : la qualité, le délai, la personnalisation à l’extrême… mais a un gros défaut : son prix ne baisse pratiquement pas quand le tirage augmente – le prix d’impression de 50 exemplaires est toujours égal à 50 fois le prix d’un exemplaire.

Il est parfois plus intéressant de faire faire le travail que de le faire soi-même. C’est une activité dont nous ne faisons pas la promotion… mais, en fonction du délai, du format, du tirage et du type de travail, nous pouvons vous proposer de confier la réalisation de vos impressions à un de nos prestataires extérieurs. C’est ainsi que nous avons fait réaliser il y a peu des documents publicitaires – nous avons assuré la conception graphique du document et fait un premier tirage numérique en quantité limitée –, une enseigne, un médaillon funéraire…

Je viens de créer mon affiche / mon flyer et souhaite vous en confier le tirage. Quelles sont mes obligations en matière de mentions légales ?

En matière d’impression de documents destinés à être diffusé auprès d’un public large, que ce soit des affiches, des tracts, des flyers, des cartes commerciales, des cartes postales, des bulletins, etc, nous intervenons comme imprimeur et notre client – est dans le rôle de l’éditeur –  celui qui fait réaliser l’impression et en assure la diffusion auprès du public.

Les mentions légales varient suivant le type de document – type qui s’estime par son usage : rien n’interdit de faire une affiche au format A6 10,5 × 14,8 cm…

Les obligations de l’imprimeur sont :

    •  indiquer ses nom et adresse sur les documents qu’il imprime ;
    • faire figurer la mention ‘ne pas jeter sur la voie publique » sur les tracts / affiches / flyer ;
    • assurer, chaque fois que c’est nécessaire, le dépôt légal imprimeur.

Les amendes encourues en cas d’absence de mentions légales sont telles que nous ne pouvons prendre le risque de les « oublier ».

L’éditeur doit assurer le dépôt légal dont il a la charge… et peut, suivant les documents, avoir l’obligation de publier ses coordonnées sur le document.

Le concepteur graphique n’a pas pas l’obligation légale de signer sont travail – mais c’est une bonne pratique en matière de propriété intellectuelle.

Le bénéficiaire du travail doit être clairement identifié… ce qui implique pour les personnes morales de préciser leurs nom, statut juridique et numéro d’identification – suivant les cas, numéro de SIRET, SIREN, RC ou RM, RNA…

La mention ‘imprimé par nos soins’ est réservé au cas très particulier où l’imprimeur, le concepteur graphique, l’éditeur et le bénéficiaire du travail sont confondus et doit compléter l’identification de l’imprimeur. L’usage de cette mention pour les travaux associatifs s’est répandu… mais elle implique que l’éditeur – concepteur graphique – bénéficiaire du travail soit propriétaire du matériel d’impression… ce qui n’est, de fait, pas le cas des travaux dont nous assurons l’impression.

Faut-il fournir des images à 300 dpi pour faire des tirages ? Faut-il accentuer les images ?

Dans la chaîne graphique qui va de la prise de vue à l’impression, il y a une expression magique qui revient souvent : 300 dpi…

Cette expression recouvre des réalités très différentes… et ne correspond ni à nos besoins pour une impression optimale ni à une contrainte des logiciels que nous utilisons. Il n’est donc pas nécessaire de mettre à tout prix les images à 300 dpi…

Dans tous les cas, il est préférable de nous fournir des images sans en modifier la résolution et la définition : les logiciels qui nous permettent, au besoin, de rattraper une qualité d’image insuffisante ne sont actuellement pas en mesure de travailler efficacement sur des images retravaillées.

De même, nous recommandons de ne pas procéder à une accentuation des images pour impression.

Et pour les documents mêlants texte et images ?

C’est typiquement le cas où la « règle » des 300 dpi est la mauvaise solution : l’image passera peut-être… mais le texte, lui, semblera flou – avec un effet variable suivant le format de fichier utilisé, le mode de génération de l’image et la couleur du texte et le fond utilisé.

La bonne solution, dans ce cas, est de générer le fichier pour l’impression au format PDF en convertissant le texte en courbe si le logiciel utilisé pour créer le document le permet – c’est le cas de la plupart des logiciels.

Dans le cas où le logiciel que vous utilisez ne le permet pas, il est nécessaire que le texte ne soit pas pixellisé dans le fichier PDF mais exporté sous forme de texte avec les polices de caractères utilisées. Nous assureront pour vous cette conversion dans la mesure du possible. Suivant l’importance du travail, des frais pourront vous être facturées.

Faut-il fournir les images et documents en mode CMJN ou RVB ? En 8 ou en 16 bits ? Quel profil couleur utiliser ?

Notre chaîne graphique fonctionne en RGB avec gestion des couleurs, nos équipements sont calibrés, vérifiés et mis à jour régulièrement.

Dans ces conditions, pour que nos impressions correspondent à vos attentes, vos fichiers doivent être en mode RGB et profilés, de préférence en Adobe RGB (1998) ou ECI RGB v2 – l’utilisation du profil sRGB est possible pour les impressions numériques laser et les épreuves petits formats mais n’est pas adapté à l’impression photo grand format.

Pour certains travaux, il peut être utile d’opter pour un espace couleur à large gammut comme le Prophoto RGB. Dans ce cas, vos fichiers doivent être codés impérativement en 16 bits par couleur – et le fichier doit être au format TIFF, le format Jpeg étant limité au codage en 8 bits par couleurs.

Parce qu’il est source de problèmes aléatoires, le codage des couleurs en CMJN doit être évité autant que possible.

Votre site ne présente pas tout ce que vous faites…

Notre cœur de métier, c’est le tirage photographique… et, aujourd’hui, quand on parle de tirage photographique, on devrait plutôt dire, et c’est l’expression que nous utilisons, d’impression photographique.

Notre site présente les services « standards » que nous proposons mais il est difficile de présenter le « sur mesure » : la réalisation de livre photo, les impressions métallisées, les travaux combinant plusieurs techniques d’impression, les travaux de finition comme le pelliculage et le contrecollage, tout ce qui concerne la numérisation, la retouche d’images, la création de documents combinant plusieurs images implique d’avoir des échanges avec le client, et parfois des essais poussés, avant qu’il soit possible de chiffrer même approximativement le travail souhaitéil sera impossible que notre site soit totalement exhaustif mais nous y travaillons. C’est le prix à payer pour le travail sur mesure…

Quelles technologies d'impression utilisez-vous ? Quelles sont leur spécificités ?

Pour l’impression photographique, nous utilisons 3 technologies complémentaires : le jet d’encre pigmentaire pour les grands formats, le jet d’encre à base de colorants pour les épreuves petit formats et l’impression numérique laser pour tout ce qui est cartes, livres photo, calendriers, etc.

Ces 3 technologies ont leur avantages et leurs inconvénients :

    • le jet d’encre pigmentaire permet de faire des impressions jusqu’à 60 cm de large sur une grande variété de supports. Avec les papiers barytés ou fine art que nous avons sélectionnés, la conservation des images sous verre dépasse largement les 100 ans et la gamme de couleurs produite est la plus étendue mais ces papiers, comme l’encre, coûtent cher ;
    • le jet d’encre colorant permet de produire des épreuves économiques sur papier photo plastifié. L’aspect, la gamme de couleur et la conservation des images est similaire à ce que l’on obtient en technologie argentique. Le choix de papier est limité : brillant, lustré ou métallic – un papier brillant aux reflets nacrés – mais les tirages plus économiques. Les tirages brillant faits avec des encres à base de colorant ne sont pas sujet au bronzing ;
    • l’impression numérique laser permet d’imprimer sur un vaste choix de papiers mais l’image a une trame, discrète, la gamme de couleur est plus réduite, la tenue à la lumière des images n’est que d’une vingtaine d’année… mais c’est le procédé le plus économique, il est possible d’imprimer en recto-verso, de rainer ou prédécouper les impressions. Associée avec un pelliculage à chaud, on obtient  des impressions très qualitatives et résistantes.

Nous faisons également de l’impression métallisée : elle n’est pas destinée à de l’impression photographique mais réaliser des marquages, textes ou dessin au trait, qui brillent sur des tirages photographiques ou des cartes personnalisées. Le procédé que nous utilisons permet de faire, à un prix qui reste raisonnable, des tirages à l’unité mais est limité en taille d’impression, en couleur et en choix de support.

A quoi correspondent les termes couché, RC, plastifié, fine art, baryté, ISO 9706, WIR Archive ?

Le papier, tel qu’il sort de la machine, est très (trop) absorbant. Le couchage consiste à enduire la surface du papier afin qu’il soit plus apte à recevoir l’encre, à le rendre plus lisse, à mieux résister à l’humidité, à le rendre plus blanc… La nature du couchage dépend du procédé d’impression auquel le papier est destiné.

Les papiers RC – on dit aussi plastifiés, parfois PE – sont les papier habituels de la photographie couleur chromogénique : une couche de résine plastique est appliquée sur les deux faces du papier ce qui le rend plus lisse et, c’est l’intérêt en photographie argentique, étanche. La face imprimable de ces papiers reçoit une enduction afin d’accepter l’encre, enduction qui peut être brillante, satinée, structurée… La surface brillante de ces papiers est ce qu’il y a de mieux pour qui veut du brillant, les prix sont raisonnables… mais ces papiers ont mauvaise réputation chez les amateurs de tirages d’art.

A l’opposé, les papiers fine art sont des papiers proche des papiers destinés à l’aquarelle, la lithographie ou la gravure. La base de ces papiers est 100 % coton, 100 % α-cellulose – elle peut aussi contenir des fibres de bambou, d’agave, de chanvre, de riz, etc – et, pour garantir une conservation optimale, ces papiers sont sans acide – et ont souvent une réserve alcaline. Avec une enduction minimale, ces papiers, sans azurant optique néfaste à la conservation du papier, sont d’un blanc « naturel ».

Les papiers barytés sont des papiers enduits, l’enduction contenant, comme les plus beau papiers photographiques noir et blanc, du sulfate de baryum. L’aspect de surface est satiné à brillant – sans être aussi brillant qu’un papier RC. Ils sont adaptés autant à l’impression photographique couleur qu’à l’impression noir et blanc.

La norme ISO 9706 défini le cahier des charges des papiers d’archivage – tous les papiers, pas uniquement les papiers destinés aux tirages d’art –, ces papiers doivent être fabriqués avec une pate de qualité, sans azurant optique, avec une réserve alcaline… Les papiers fine art et barytés que nous proposons répondent tous à cette norme tout comme la plupart de nos papiers destinés à l’impression numérique laser.

La norme ISO 9706 ne s’applique ni aux supports plastifiés, ni aux plastiques, ni aux toiles… Les papiers recyclés comme les papiers spéciaux type calque ne peuvent y répondre.

Le Wilhem Imaging Research, un laboratoire indépendant expert dans la conservation des images, a labellisé certains papiers pour l’archivage. Les papiers Canson Infinity PhotoSatin 270 RC, PhotoGloss 270RC et Platine Fibre 310 g portent ainsi le label WIR Archive.

J'aimerais faire des impressions / des tirages sur un papier que vous ne proposez pas…

Parce qu’il n’est pas possible de tout faire et de tout avoir, nous avons dû faire choisis… et renoncer à de beaux, très beaux papiers…

Et il y a les papiers qui manquent dans notre catalogue…

Vous avez un projet que vous aimeriez nous confier mais nous n’avons pas le papier de  vos rêves… n’hésitez pas à nous demander, nous étudierons avec vous ce qui est possible.

Avez-vous prévu de référencer de nouveaux papiers prochainement ?

Il y a plusieurs papiers que nous allons prochainement ajouter à notre offre :

    • le Rausch Mediajet Litho White Mat qui est la version blanche du Litho Archive Mat que nous proposons déjà ; nous le proposerons dès que notre fournisseur l’aura à nouveau en stock ;
    • dès qu’il sera à nouveau disponible, nous prévoyons proposer le Conqueror Laid en 300 g/m², un papier vergé blanc destiné à l’impression numérique laser ;
    • l’Astralux 250 g/m², un papier pour impression numérique laser très brillant, fait aussi partie des papiers que nous aimerions proposer prochainement même si nous avons, jusqu’à maintenant, préféré référencer d’autres papiers.

Nous aimerions avoir un 4e papier pour la réalisation des tirages et épreuves petits formats en encre à base de colorants… Nous souhaitons ce nouveau papier en, au moins, deux formats mais c’est plus compliqué…

Vous êtes plus cher que…

Il est important, quand on compare les prix, de comparer également la prestation…

Nous privilégions la qualité : les technologies d’impression que nous utilisons comme les supports que nous avons sélectionnés ne sont pas les moins chers… nous regardons les tarifs pratiqués par nos confrères et nous savons, qu’à prestations équivalentes, nos prix sont très concurrentiels.

Les prix affichés « en gros » sur les bornes automatiques correspondent aux tarifs les plus bas pratiqués pour des tirages en quantité au format le plus optimisé que peut produire la machine… ces bornes utilisent le plus souvent du papier thermique brillant d’un grammage bien plus faible que celui que nous utilisons et sont plus que très limitées en format… Ces tirages sont fragiles, leur durée de conservation n’est, au mieux, que d’une quinzaine d’années. Et c’est vous qui faites le travail : vous payez tous les tirages, y compris ceux qui paraissaient bien à l’écran et qui auraient mérité d’être corrigés en couleur ou densité.

Les laboratoires en ligne peuvent savent des prix « promotion » inférieurs au prix auquel nous achetons nos consommables – les papiers chromogéniques économique qui sont nettement cher moins cher que le papier jet d’encre, il en est de même pour la chimie photographique par rapport à l’encre. Si vous désirez un travail « sur mesure », il vous sera facturé fort cher si ce n’est pas vous qui faites.

Les prestataires, laboratoire photo ou autre, ont fait des choix techniques qui ne sont pas forcément les mêmes que les nôtres. Un tirage sur traceur Epson de dernière génération peut être fait avec 10 ou 12 encres… En noir et blanc, sur le même papier qu’un de ceux que nous utilisons, il n’y aura pas de différence… mais elle sera visible sur les plages très saturées des tirages couleur… et  une impression avec 12 encres est plus chère qu’avec 10…

Est-il obligatoire de passer par un photographe pour des photos d'identité ? Puis-je les faire moi-même ?

La réponse est simple : non, il n’est pas obligatoire de passer par un photographe…

Les cabines automatisées – Photomaton ou autres – le font avec plus ou moins de bonheur et il est parfaitement possible de faire soi-même des photos d’identité biométriques conformes à la norme actuelle : on trouve sur le web, sans trop chercher, la norme et des tutos de qualité… mais il y a un (et même plusieurs) mais.

Un certain nombre de règles impératives ne sont ni dans la norme ISO/IEC 19794-5 : 2005 ni dans l’arrêté du 5 février 2009 mais résultent de dispositions administratives non écrites. Parmi celles-ci, on peut citer les lunettes, les boucles d’oreilles, les cols protégeant cachant le cou… Difficile, devant son smartphone ou dans une cabine automatique, de tout respecter en prenant la pose, tête droite, regard fixe, bouche fermée, absence de sourire…

Et il y a le « détail » de la norme : le tirage doit être réalisé sur un support et avec un matériel agréés… Ce qui veut dire, en clair, que le tirage ne peut être fait qu’avec du matériel et des supports professionnels qui coûtent un bras, il est impossible de le faire avec une imprimante photo « amateur », même avec un papier photo brillant que qualité.

Nous pouvons réaliser sur nos équipements vos planches de photos d’identité à partir de vos photos ou de photos qui ont été faites chez nous ou chez un de nos confrères. C’est un peu plus cher qu’un tirage normal, mais le travail n’est pas le même.

Pouvez-vous me fournir une version numérique de la photo d'identité que vous venez de faire…

Depuis que nous faisons des photos d’identité et des mini-portraits et parce que nous ne conservons pas ces photos, RGPD oblige – les photos d’identité sont des données personnelles sensibles –, sur la planche de photos que nous vous remettons figure un lien de téléchargement – accompagné depuis début septembre par un QR code parce qu’il plus facile de flasher que de taper une série de caractères sans signification apparente.

Ce lien de téléchargement valable est valable 30 jours – plutôt 43200 minutes – et le ménage est fait très régulièrement sur le serveur sur lequel sont stockées, de manière sécurisée, ces images.

L’image téléchargée peut servir pour des demandes de documents pour lesquels il est possible de télétransmettre une photo d’identité numérique et pour faire, au besoin, des retirages. Nous incitons vivement nos clients à télécharger leur photo d’identité et à la conserver précieusement.

Est-ce que vous faites des photos d'identité de jeunes enfants ? Est-ce que vous faites des photos de personnes en fauteuil roulant ?

La norme française n’assoupli pas les règles pour les photos de jeunes enfants ou de personnes handicapées.

Tel qu’est aménagé notre atelier, il est nécessaire que l’enfant puisse se tenir assis, tête droite, quelques minutes, ce que peut faire un enfant d’environ 2 ans…

Nos locaux sont accessibles sans soucis aux personnes en fauteuil roulant.

La prise de vue pouvant nécessiter plus de temps, nous vous remercions de l’indiquer lors de la prise de rendez-vous.

Est-ce que vous faites des photos avec prise de signature pour les permis de conduire ?

Nous ne sommes pas équipé de matériel pour recueillir la signature et des logiciels indispensables pour transmettre les images.

Nous avons étudié la faisabilité de la chose… Pour le moment, ce n’est pas notre priorité.

Mes photos d'identité ont été rejetées…

Les causes de rejet de photos d’identité sont nombreuses :

    • la photo doit être récente – moins de 6 mois –, ressemblante au jour de la demande et ne pas avoir été retouchée ;
    • la photo doit être en couleur sur papier brillant sans trace, plis ou rayure : le mieux est de conserver les photos dans leur pochette de livraison et de ne les découper qu’au besoin ;
    • la photo ne respecte pas la norme – visage trop gros ou trop petit tête inclinée, cheveux qui cachent le visage, boucles d’oreilles trop voyantes, etc – il peut être intéressant que vous montriez la photo rejetée au photographe qui vous fera les nouvelles photos ;

La satisfaction de nos client est notre priorité : s’il advient que des photos que nous avons faites soient rejetées parce qu’elles ne respectent pas la  norme ISO/IEC 19794-5 : 2005 ou l’arrêté du 5 février 2009, nous les refaisons gratuitement.

Mes photos ne rentrent pas dans mon cadre, mes tirages ne font pas la dimension annoncée…

Les dimensions des formats photo s’expriment en pouces, c’est ainsi qu’un tirage 9 × 13 fait 8,9 × 12,7 cm (3,5″ × 5″), un 10 × 15 fait 10,2 × 15,2 cm (4″ × 6″), un 20 × 30 fait 20,3 × 30,5 cm (8″ × 12″), un 50 × 60 cm fait 50,8 × 60,9 cm (16″ × 24″)… et qu’un 18 × 24 fait 17,8 × 24 cm (7″ ×  9,5″).

Les dimensions des cadres sont, elles, exprimées en centimètres, les fabriquant laissant, ou non, une marge plus ou moins importante pour la photo.

Parce que ça correspond aux cas les plus courants, nous réalisons par défaut les tirages petit format aux formats photo et les impressions pigmentaires aux dimensions en centimètre. C’est ainsi qu’un tirage 20 × 30 sur papier Fuji brillant ou lustré fera 20,3 × 30,5 cm… alors que sur papier Canson Infinity ou Hahnemülhe, il fera 20 × 30 cm.

Bien sûr, nous pouvons, sans surcoût, nous adapter, il suffit de le préciser à la commande.

Les tirages sont, sauf demande précise de votre part, toujours homothétiques au fichier fourni… C’est ainsi que si vous utilisez un appareil photo ou un smartphone au format 4/3, les tirages « 10 × 15 » livrés feront 11,4 × 15,2 cm et que si vous optez pour un format panoramique, ils feront 8,5 × 15,2 cm de large…

Il est arrivé à plusieurs de nos clients de découvrir que les cadres qu’ils avaient achetés ne faisaient pas vraiment les dimensions annoncées et/ou que la bordure du cadre couvrait une partie importante de l’image.

Vous avez le cadre dans lequel vous allez mettre le tirage que vous nous commandez ? N’hésitez pas à nos donner ses dimensions, nous savons gérer…