A propos du Baryta Prestige II…

Vous aimez l’aspect, l’épaisseur, les noirs du Canson Infinity Baryta Prestige 340 g…  Vous allez aimer sa version II !

Alors que nous n’avons pas encore passé commande du papier, nous avons cherché des réponses aux questions que nous ont posé celles et ceux qui ont adopté le Baryta Prestige.

Le support papier, ce qui fait son épaisseur et sa main, comme sa surface, très proche des papiers argentiques barytés, sont inchangés : à l’œil et au toucher, le nouveau papier semble identique à son ancienne version.

L’enduction barytée a été améliorée : il y a des différences négligeables de rendu, les noirs devraient être un poil plus profonds – nous ferons des mesures dès que nous aurons le papier en stock – et la durée de vie des impressions devrait être encore améliorée – le Wilhem Imaging Research n’a publié aucune données pour les papiers Canson et Hahnemüle avec les encres Epson UltraChrome Pro 12, il faut être patient.

La mauvaise surprise, c’est la forte hausse du prix du papier depuis notre dernier achat – les prix du papier ont augmenté sur la même période de 30 % –. Il n’y a pas que le prix du papier dans le prix du tirage : pour les tirages sur Canson Infinity Baryta Prestige II, nous appliqueront le tarif des tirages sur papiers Hahnemülhe Ultrasmooth 305 g et William Turner 310 g que nous avons acheté pratiquement au même prix.

La mise à jour des pages de notre site internet à commencé…

 

Edit du 27 août

Difficile de suivre tant la demande de nouveaux supports est forte… La commande de Baryta Prestige II n’est pas encore partie. Nous espérons le faire courant de la semaine qui vient pour disponibilité du papier fin de la première semaine de 8 septembre.

Il est arrivé…

Hahnemülhe Metallic 340 g
Hahnemülhe Metallic 340 g

Nous l’attendions il y a une semaine, il est arrivé…

Aussitôt reçu, aussitôt testé, aussitôt mesuré…

Commençons par la bonne nouvelle, les réglages proposés par Hahnemülhe donnent d’excellents résultats : couleurs parfaites,  impressions sans soucis…et une sensation au toucher exceptionnelle.

Sur les images, choisies à dessein, le résultat est surprenant : le papier brille bien, les noirs sont biens noirs (la Dmax mesurée est de 2,40… presqu’aussi bien que les Canson Infinity Photo Gloss et Photo Satin…), le « blanc » du papier est un poil chaud et les reflets font son éclat… Le papier n’est pas lisse et a une structure discrète qui renforce encore son coté qualitatif… Continuer la lecture de « Il est arrivé… »

A force de l’annoncer…

Nous voyons passer les annonces de hausses tarifaires de nos fournisseurs depuis plus d’un an et il y a les fournisseurs qui, presque en cachette, augmentent un peu leur prix mais souvent…

Nous n’avons pas répercuté toutes les hausses, en avons étalé certaines, avons stocké des consommables, sécurisé nos approvisionnements mais, là, ça y est, la première hausse significative de nos tarifs arrive : d’ici une quinzaine de jours – difficile de donner une date précise ni de dire si elle se fera en une ou deux fois – nous allons devoir répercuter la hausse du prix des consommables Fuji pour les tirages petit format et épreuves… et la hausse sera d’environ 10 %. Continuer la lecture de « A force de l’annoncer… »

Pourquoi se limiter au A4 ?

Les formats de papier, d’impression, de tableaux, de tirages – et de films – photo que nous connaissons sont issus de contraintes techniques, industrielles associées à une rationalisation au mieux.

Quand les feuilles de papier étaient faites à la forme, les formats de papier étaient nommés en fonction de sa taille du cadre et du filigrane propre à chaque moulin. L’AFNOR a mis ensuite un peu d’ordre dans les tailles et dénominations. Continuer la lecture de « Pourquoi se limiter au A4 ? »

Mat ou brillant ?

Quand on apportait, il y a longtemps, une pellicule à développer, la question qui arrivait en premier, c’était « mat ou brillant ? » et, parfois, venait ensuite le format de tirage (parfois seulement : la plupart des minilabs avaient été conçus pour faire des tirages en 10 × 15 ou en 15 × 21… et rien d’autre).

A l’époque, de mat, le papier n’avait que le nom et c’était plutôt un papier lustré que l’on avait (et suivant les fabricants, le papier lustré pouvait être superbe).

Aujourd’hui, les fabricants mettent à notre disposition pour les impressions numériques un grand choix de surfaces : du lustré / satiné et du brillant bien sûr mais aussi des papiers au rendu très proches des papiers barytés et des vrais papiers mats avec une durée de conservation annoncée pour les papiers baryté et fine-art pouvant atteindre 200 ans.

Qu’est-ce que cela change en pratique : certes, le coté brillant pardonne moins les traces de doigts mais il donne des noirs plus profonds quand une finition matte donne plutôt un gris foncé. Continuer la lecture de « Mat ou brillant ? »

C’est parti

Les locaux sont en cours d’aménagement, les premières machines sont là et fonctionnent, la production peut démarrer.

La carterie est opérationnelle et nous pouvons, à partir de vos idées, de vos photos, de sos souhaits, produire des cartes personnalisées, des calendriers sur papier épais, avec ou sans pelliculage…

D’ici quelques jours, l’impression photo grand format sera opérationnelle.