C’était mieux avant…

La boulimie d’images faites au smartphone, stockées dans les nuages,  retouchées à coup de filtres Instagram ou par intelligence artificielle, partagées à la va vite sur les réseaux sociaux, vire à l’indigestion : nostalgie ou désir de faire autrement, les procédés photographiques analogiques reviennent tout doucement à la mode.

Alors que l’Allemagne vient d’inscrire « la production de portraits sous forme de positifs uniques ou de négatifs destinés à être reproduits à l’aide de procédés photographiques analogiques » dans sa liste des patrimoines culturels immatériels, que le ministère de la Culture, en amont de la 6e édition du Parlement de la photographie, prévoit d’inscrire la photographe dans la sienne en prévision de la célébration, en 2026, du bicentenaire de la photographie, Arte, dans le numéro diffusé début mai du magazine culturel Twist, montre les pratiques de photographes qui ont opté pour l’analogique. Continuer la lecture de « C’était mieux avant… »