Nouveaux papiers pour les tirages petits formats

Plus de 70 papiers en stocks pour les impressions et tirages photo grands formats, la carterie et les impressions numériques laser… et seulement 3 papiers pour les tirages photo petits formats et les épreuves…

Après une période où Fuji et ses confrères – rares sont ceux qui produisent du papier adapté à ces imprimantes très spécifiques – ont réduit leur offre à brillant ou lustré – le papier Metallic que nous avons en stock ne semble plus être distribué en France –, les choses sont en train d’évoluer :

Nous devrions avoir en stock, courant de semaine prochaine, le papier Fuji FineArt Mat en 230 g en 20,3 cm de large, un papier que propose depuis peu un de nos fournisseurs et que Fuji ne distribuait plus en Europe. Ce papier nous permettra de proposer de vrais tirages mat, sur un papier base fibre non marqué au dos…

Bien évidemment, la durée de vie des tirages réalisés avec les encres Fuji à base de colorant ne pourra égaler celle des tirages faits avec les encres pigmentaires utilisés par notre traceur Epson… mais les encres à colorant pénétrant dans les fibres du papier, la résistance à l’abrasion des tirages sera meilleure, et il sera proposé au même prix que les tirages sur papiers brillant et lustré.

Ultérieurement, un papier perlé, à la structure légèrement plus prononcée que le papier lustré que nous proposons actuellement, viendra enrichir notre offre. Ce papier, qui n’est pas fabriqué par Fuji, sera, lui, proposé en 15,2 cm de large.

Enfin, Fuji propose à nouveau un papier grain soie… nous n’avons pas de demande pour des tirages sur ce type de papier mais il est au catalogue de nos fournisseurs…

 

 

Ajustements tarifaires

Nous allons procéder à quelques ajustements tarifaires ciblés dans les semaines qui viennent :

    • ils avaient été un peu épargnés par la hausse d’il y a un an, le rattrapage arrive : les épreuves et tirages petits formats jusqu’au 15 × 21 cm sur papier Fuji brillant et lustré verront leurs prix alignés très prochainement sur celui des tirages sur papier métallique ;
    • nous espérons toujours que nos fournisseurs habituels aient à nouveau en stock et à un prix raisonnable le toner dont nous avons besoin rapidement… depuis la fin de semaine dernière, nous pouvons à nouveau en avoir en France mais à un prix élevé, mais un tantinet moins cher qu’aux Pays-Bas : sauf changement et contrairement à ce que nous espérions en toute fin d’année dernière, une hausse de nos tarifs d’impression numérique laser à court terme est probable ;
    • après la laborieuse correction des bugs en cascade du calculateur de prix des impressions numérique laser en début d’année, nous avons procédé à l’ajustement qui va bien dans les calculateurs de prix des calendriers… ces corrections induisent une légère hausse du prix des calendriers en petit format.

Il va falloir y passer…

Nous avons déjà abordé le sujet, il n’y a pas que Photoshop dans la vie…

Comme indiqué dans l’article de juillet dernier, nous aimons et utilisons beaucoup les logiciels de la suite Serif Affinity mais, plus de 16 mois après leur sortie, nous  avons toujours autant de difficultés à passer à la version 2 pour notre production – ce qui ne veut pas dire que nous ne l’utilisons pas, elle sert surtout pour des tâches spécifiques…

Bien sûr la version 2 apporte beaucoup de choses qui manquaient à la première version et de nombreuses améliorations… Et on pourrait faire une longue liste des fonctionnalités qui ne nous servent pas à grand choses, des petits trucs qui nous déplaisent, des habitudes qu’il va falloir perdre, de celles qu’il va falloir prendre et des choses qui nous sont indispensables et que la version 2 ne fait plus…

Bref la version 2 de la suite Affinity, c’est comme Windows 11 : on peut y passer quand on veut mais on repousse et repousse encore.

La mise à jour qui arrive et dont nous avons testé la version bêta apporte un lot de nouveautés auxquelles il sera difficile de résister comme la gestion des flashcodes – nous en collons aussi bien sur nos documents de communication que sur nos planches de photo d’identité… et nos clients en demandent de plus en plus – et des polices variables, le support de nouveaux appareils photos, etc.

Il va falloir y passer…

Un sport de haut niveau…

Entre les nombreux papiers que nous proposons, les multiples consommables d’impression et de finition indispensables à notre activité et les emballages, la gestion de nos approvisionnements est un sport de haut niveau…

Et, c’est inévitable, ça ne se passe pas toujours comme nous le voudrions.

Ce n’est pas la première fois que ça arrive, mais là, plusieurs de nos fournisseurs sont en rupture de stock sur les fournitures dont nous avons besoin rapidement, plusieurs de nos équipements sont concernés et, plus gênant, nos fournisseurs ne sont pas en mesure de nous donner de délai…

Sont concernés les tirages et épreuves photo petits formats – l’encre noire utilisée est en rupture depuis près d’un mois – et les impressions numériques laser – c’est compliqué depuis le début de l’année, la situation ne s’arrange pas vraiment et, ceux disent avoir du stock le vendent fort cher, sans donner de délai de livraison.

Pour le moment, nous continuons à produire… mais il nous est à ce jour impossible de nous engager à produire vite et en quantité avec nos restes de consommables.

Nous avons depuis peu des solutions de remplacement au cas où – du toner compatible annoncé disponible en Allemagne ou du toner de marque aux Pays-bas, de l’encre chez un fournisseur qui nous avait déjà dépanné il y a 6 mois… –, mais nous souhaitons, tant que faire se peut, privilégier nos fournisseurs habituels – ne serait-ce parce que nous n’avons pas besoin que d’un peu d’encre ou de toner et qu’il nous parait plus simple, plus économique, plus efficace et plus écologique de grouper nos commandes.

 

 

Nouvelle imprimante chez Epson

Jusqu’à maintenant, chez Epson, en grand format, il fallait choisir entre impression à large gamut et format d’impression : Epson, comme Canon – et HP –, ayant fait le choix de limiter ses imprimantes photo à large gamut à des laizes de papier de 44″ soit 111,6 cm…  Les tirages photo dans des dimensions supérieures ne pouvant être réalisés que sur des machines utilisant moins de couleurs… avec un gamut (un peu) moins large.

Canon avait fini par commercialiser une version 64″ (162,6 cm) de son traceur photo à large gamut, Epson vient d’annoncer à son tour la sortie d’une version UltraChrome Pro 12 de son imprimante photo très grand format.

Qu’est-ce que ça change ?

Pour nous, rien. La demande de tirages au delà du 60 × 80 est trop faible pour que nous investissions à court ou moyen terme dans un monstre utilisant des cartouches d’encre d’1,6 litres qui ne pourrait que très difficilement rentrer dans nos locaux actuels – sans parler du prix de la bête qui n’est pas vraiment en proportion de la largeur d’impression–. Il est probable que la sortie de machines de plus petit format avec des caractéristiques améliorées – gouttes encore plus petites, meilleur gamut, durée de vie des impressions améliorée, vernis pour limiter le bronzing – attende encore un peu…

L’encre est la même que celle utilisée par notre traceur SC-P7500 : même dénomination, mêmes couleurs, tests de vieillissement donnant les mêmes (bons) résultats…

Bien sûr, certains de nos confrères vont s’équiper et il n’est pas impossible que quelques-uns soient en mesure de produire dès l’arrivée officielle des machines en France… Le photographe qui veut du grand avec un large gamut devra être vigilant, les tirages ne seront peut être pas au même prix…

La différence est ailleurs : pour le moment, Epson n’accorde le label Digigraphie qu’aux tirages sur papiers Canson et Hahnemülhe réalisés sur les machines utilisant la génération d’encre précédente. La certification, d’ici quelques temps, des papiers concurrents avec les encres UltraChrome Pro 12 serait la bonne surprise.

La fin des travaux approche…

Presque 6 mois que nous feuilletonnons sur l’avancée des travaux sur le réseau d’eau et d’assainissement de la rue où est situé notre atelier…

La pose de l’enrobée, attendue depuis l’achèvement du gros des travaux fin décembre, est pour demain.

En conséquence, l’accès à nos locaux et aux parkings à proximité sera compliquée, pour ne pas dire plus, demain vendredi – la circulation ne sera totalement coupée que le temps de la pose de l’enrobé, les déviations se mettant en place en fonction de ce qui est possible.

Et, fin de journée, la rue de l’Abattoir sera comme neuve.

 

Edit du 19 avril – 16 h

Les travaux sont maintenant terminés et les rues de l’Abattoir et des Jardins réouvertes à la circulation.

Plus d’infos sur nos papiers…

L’impression numérique laser est, pratiquement, la seule méthode permettant de réaliser des cartes, invitations, faire-part en recto-verso et autres livrets,  livres photo, carnets à l’unité ou en (toute) petite série…

Parce que, pour cette utilisation, connaître l’épaisseur et l’opacité des papiers est aussi important que de connaître leur couleur, nous avons procédé à une grosse mise à jour de la page donnant ces informations : les caractéristiques des papiers destinés à l’impression numérique laser sont maintenant présentée en 2 onglets : un premier donnant, comme précédemment, la couleur du papier (valeurs L*a*b* et densité optique mesurée en sensibilité visuelle) et un second indiquant son aspect (mat, brillant ou satiné, lisse ou structuré…), son épaisseur et son opacité.

Pour les données concernant la couleur des papiers, les informations communiquées par les papetiers étant assez sommaires, pour ne pas dire moins, nous ne communiquons que nos mesures faites avec un spectrocolorimètre ColorMunki Photo et un densitomètre X-Rite TR820 (nos équipements ne nous permettent ni de mesurer la blancheur ou la brillance des papiers, ni de donner, même très approximativement, des valeurs permettant une vague comparaison). Les mesures sont fiables même s’il faut savoir ruser pour mesurer les papiers spéciaux comme les papiers fluorescents.

Pour la mesure de l’épaisseur, un pied à coulisse suffit pour faire le job : la norme ISO 534 prévoit que la mesure puisse être faite en mesurant l’épaisseur d’une pile de feuille… (en pratique, 10 à 20 feuilles suffisent)

Et le Colormunki permet, avec quelques bricolages et un bon ordi, de mesurer l’opacité des papiers suivant la méthodologie définie par la norme ISO 2471 et d’obtenir des valeurs comparables avec celles indiquées, quand elles le sont, par les papetiers qui disposent de moyens bien plus conséquents. Même si nous communiquons peu sur le sujet, nous mesurons l’opacité de nos papiers depuis un petit moment

Il faut savoir que la norme ISO 2471 n’est pas destinée à estimer si on verra, ou non, à travers une feuille de papier que l’on poserait devant une fenêtre ou une lampe – non, le papier n’est pas ni planche de bois ni une feuille de métal – mais à permettre de comparer objectivement la capacité des papiers à masquer, plus ou moins efficacement, l’impression qui est au dos de la feuille.

Nous avons fait le choix de ne communiquer nos mesures que si nous ne disposons pas de données fournies par le fabricant du papier (c’est souvent pour l’opacité) ou s’il y a un écart important entre nos mesures et les données communiquées par les papetiers (ce qui arrive fréquemment avec les mesures d’épaisseur : les fabricants donnant tantôt des valeurs moyennes, tantôt des valeurs limites… il peut y avoir un écart entre le papier que nous avons en stock et ces valeurs…)

Les informations sur nos papiers sont ici et, non, nous ne prévoyons pas, sauf exception, de communiquer d’informations sur l’épaisseur ou l’opacité des autres papiers que nous proposons. C’est ainsi que, parce qu’elle d’une utilité toute relative pour ces papiers et que les conditions de mesure définies par la norme ISO 2471 ne sont pas adaptées à la mesure des papiers colorés, nous n’avons mesuré ni l’opacité des papiers fluorescents (qui ne sont pas destinés à l’impression recto-verso), ni de la carte Peau d’âne (qui est destinée à la réalisation de cartes, billets, chemises et dossiers).

Du papier avec de la matière…

Echantillons de papiers structurés en gamme chez Inpixya - mars 2024
Dans le sens des aiguilles d’une montre, en partant de midi : Ambassadoir Laid 300 g, Inapa Création Tradition 250 g, Inapa Création Felt 260 g, Inapa Création Pack 280 g, Rives Design 250 g, Rives Dot 250 g, Inapa Création Jeans 250 g

Tout est une affaire de goûts… Pour certains, le papier n’est jamais assez lisse, pour d’autres, il l’est toujours trop…

Conséquence de la fin d’Arjowiggins Scotland, l’offre de papiers structurés adaptés à notre activité – des papiers aptes à recevoir l’impression numérique laser dans des formats et conditionnements adaptés – avait fondu, certaines fabrications – comme le Rives dot – n’ayant toujours pas été reprises…

Entre papiers en stock et papier sur commande spéciale permanente, nous proposons, depuis la mi-mars, 7 beaux papiers structurés pour la réalisation de cartes, faire-part, invitations :

    • le Rives Dot 250 g à la surface gaufrée avec des points, jusqu’à épuisement du stock, en espérant qu’un papetier relance une fabrication similaire ;
    • le Rives Design 250 g à la surface gaufrée avec des petits losanges. A épuisement du stock, il sera remplacé par l’Inapa Création Design de même grammage. Son gaufrage est identique, sa couleur très légèrement différente, mais il semble moins épais et est moins rigide et moins opaque ;
    • l’Ambassador Laid 300 g est un papier vergé épais destiné, entre autres, à la réalisation de cartes de visite. Comme tous les papiers destinés à l’impression numérique, il est un peu plus lisse que les papiers vergés prévus pour l’impression en relief mais donne un touché exceptionnel. Le pliage doit être effectué perpendiculairement au sens des vergeures ;
    • l’Inapa Création Tradition 250 g est un papier gain feutre avec un motif de petits traits disponible en 2 teintes – notre fournisseur en propose 4, deux de ces teintes étant sensiblement les mêmes. Le pliage doit être effectué dans le sens parallèle au motif ;
    • l’Inapa Création Pack est un papier au grain « brut machine » que nous proposons en 240 g et 280 g, ce papier est presque lisse mais moins que le Pergraphica Rough ;
    • l’Inapa Création Felt 260 g est un papier au grain feutre traditionnel, ressemblant à un papier aquarelle, disponible en 2 teintes, blanc et naturel ;
    • l’Inapa Création Jeans 250 g est un papier au grain ayant l’aspect du motif de la toile denim.

Les papiers Rives et Ambassador sont en stock – nos stocks sont suffisants pour imprimer plusieurs centaines de cartes, faire-parts ou invitations  –, les papiers Inapa Création sont en commande spéciale permanente – notre stock est réduit… mais nous pouvons être approvisionné rapidement dans des quantités adaptées aux travaux à réaliser.

A noter : les papiers Inapa Création Tradition n’ont pas encore été testés sur sur nos équipements… Vu le passage en machine des autres papiers Inapa Création, ils devraient passer sans soucis… mais on ne sait jamais.

Notre fournisseur propose également les papiers Inapa Création dans des grammages plus faibles adaptés, par exemple, à la réalisation de lettres, livres, carnets, brochures, jaquettes… et des enveloppes assorties.

 

Edit du 5 avril

Nous avons enfin procédé aux essais d’impression sur les papiers Inapa Création Tradition. Comme prévu, aucun soucis de passage en machine ni d’accroche du toner.

La structure du papier est assez discrète une fois imprimé – on est très loin des Gmund Brasilia sur lesquels le veinage du motif bois reste très visible après impression.

Vu l’épaisseur du papier, nous testerons la version 320 g de ces papiers, pour voir.

Pour que ça flashe

Parce qu’il y a des fois où il faut que ça flashe, parce qu’une affiche fluo de petit format peut-être suffisante, parce que y’a pas que le jaune dans la vie… nous avons référencé, en commande spéciale permanente, les papiers Sunifluo 90 g.

Ces papiers sont disponibles dans les coloris jonquille (jaune), kiwi (vert), bougainvillée (rose) et coquelicot (rouge) et sont adaptés à l’impression numérique laser.

Ces papiers sont des papiers en feuilles de format 60 × 80 cm… ce qui veut dire, qu’au delà des formats 30 × 40 cm, A3 ou 32 × 45 cm, il est possible de réaliser de manière économique des affiches jusqu’au format 32 × 60 cm ou 32 × 80 cm, la largeur d’impression étant limitée à 30,5 cm.

Quelques détails qui peuvent avoir leur importance :

    • comme le papier jaune fluorescent que nos utilisons en impression grand format, ces papiers ont un dos blanc… ils ne peuvent pas être imprimés en recto-verso ;
    • la couleur du papier jonquille est très très très proche de notre papier jaune fluorescent pour impression grand format… il est donc parfaitement possible d’afficher côte à côte les deux papiers sans qu’une différence soit visible…
    • parce que l’effet fluorescent du papier est dû à l’interaction du rayonnement ultra-violet avec l’encre du papier, l’effet fluo s’attenue avec le temps… la tenue du toner à la lumière est bien meilleure que celle du papier ;
    • nos tarifs d’impressions sont basés sur des taux de couverture « photo » – taux de couverture de 30 % – qui ne correspondent à rien pour des impressions sur papier fluorescent… le plus souvent le taux de couverture est plus faible, parfois beaucoup plus important. Comme pour toutes les impressions sur papier fluorescent, le prix facturé devra être calculé en fonction du taux de couverture réel ;
    • comme tous les papiers en commande spéciale permanente, notre stock est limité… et le prix du papier peut subir de fortes variations liées directement à l’importance des frais de port sur les achats.

 

Edit du 22 juin

Pour un de nos clients qui voulait grand mais pas du jaune, nous avons testé ces papiers sur notre traceur Epson…

Le fabricant de ces papiers fluorescents les annonçait compatible avec l’impression jet d’encre… le papier accepte parfaitement l’encre qui ne bave pas.

En grand format, l’impression est limitée au 60 × 80 cm (le format de la feuille), le papier en feuille étant sensiblement plus cher que le papier en rouleau et la manipulation des feuilles plus compliquée, le prix s’en ressent.

Et un onzième…

Dix, ça faisait un peu court…

Le onzième nouveau papier arrivé en début de semaine n’est autre que le nouveau papier couché 120 g destiné à l’impression grand format.

Le papier a le même grammage et la même épaisseur que le papier qu’il remplace.

Ce qui change :

    • le papier est moins lisse que le couché 120 g que nous utilisions jusque là et dont la fabrication a cessé…
    • mais il est tout aussi blanc ;
    • les essais d’impression montrent qu’il donne des impressions plus fines,
    • qu’il semble avoir un gamut plus large
    • et donner des noirs plus profonds ;
    • le conditionnement du papier est différent : les rouleaux ne font que 30 mètres de long – le traceur accepte les impressions jusqu’à 18 mètres de long, ce qui laisse de la marge –… mais, ayant produit plusieurs impressions dépassant les 10 mètres de long, il faudra gérer…
    • et, c’est un détail, le papier est fabriqué en France.

Parce qu’il sert aussi à produire des affiches pour l’extérieur, nous avons testé rapidement sa tenue à l’eau : l’impression semble tenir aussi bien que sur notre ancien couché 120 g qui avait été testé, par accident, avec succès, collé comme du papier peint sur carton et placé sans autre protection à l’extérieur sous des conditions météo hivernales avec pluie, neige, bourrasques, pendant 2 mois sans dégradations apparentes…

 

Edit du 9 mars

Les mesures confirment le ressenti : l’écart de couleur (ΔE) entre l’ancien est le nouveau papier couché 120 g est de 1,2, le nouveau papier étant plus neutre que l’ancien – pour mémoire un ΔE inférieur à 2 est tout juste visible – et la Dmax mesurée est de 1,70, ce qui est encore meilleur que l’ancien dont nous avions la Dmax à 1,65.