Erreur critique…

Ça arrive de temps à autres : après la mise à jour d’un des modules qui font tourner notre site, notre site principal rencontre une « erreur critique » – la boutique n’avait pas recours à ce module –, l’erreur critique en question n’ayant qu’un impact très limité sur le site et ne semblant pas impacter ses fonctions essentielles – l’accès aux tarifs, aux calculateurs de prix, aux formulaires de contact et au blog n’est pas perturbé.

Le module qui causait l’erreur a été identifié… reste à voir si c’est effectivement ce module qui est responsable de l’erreur ou si c’est un autre des modules du site, modules qui sont eux aussi régulièrement mis à jour, qui provoque l’erreur critique sur ce module.

Dans l’immédiat, le module en question a été désactivé… et nous allons maintenant examiner l’ensemble des pages du site afin de voir les conséquences de la désactivation de ce module et d’essayer, dans la mesure du possible, de garder les fonctionnalités du site sans avoir recours au module en défaut.

 

Edit du 25 mai – 19 h 45

L’éditeur du module en question a déjà publié une mise à jour… mise à jour qui ne pouvait s’installer à cause de l’erreur critique.

Nous venons de procéder à la mise à jour manuelle du module, le problème est réglé…

98,51 %…

Qui dit épée dit bouclier, qui dit char d’assaut dit mine / missile / drone antichar, qui dit avion dit défense antiaérienne et, fort logiquement, qui dit intelligence artificielle générative dit détecteur d’intelligence artificielle… et quoi de mieux qu’un logiciel qui pourrait faire mieux, plus vite, avec une meilleure acuité et sans biais cognitifs, que l’humain à ce petit jeu…

Science et Vie, avec plus de 10 mois de retard, vient de relayer l’information comme quoi un détecteur d’IA avait estimé, avec une probabilité de 98,51 %, qu’une IA générative était l’auteur de la Déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique, déclaration adoptée par le Congrès continental le 4 juillet 1776 et signée le 2 août de la même année. Et dans le(s) même(s) article(s), on apprend que la Déclaration d’indépendance n’était pas le seul texte « accusé » par une IA d’avoir été écrite par une autre IA : il en est de même pour des passages de la Bible, avec une probabilité atteignant 98,9 %, un compte-rendu de procès des années 90…

Pour Luc Julia, qui est en promotion de son dernier livre IA génératives, pas créatives – L’intelligence artificielle n’existe (toujours) pas, rien de surprenant : les outils dits d’intelligence artificielle ne sont que des outils qui ne savent que faire que ce pour quoi ils ont été conçus et ne savent que reproduire ce qu’ils ont appris… Comme « un marteau, [qui est] mieux qu’un poing pour planter un clou…», ces outils font des choses plus vite et bien mieux que l’humain mais il ne savent pas et ne sauront probablement jamais inventer, extrapoler, créer…  Leur limite vient de leur base de donnée d’apprentissage : cette base de donnée, alimentée principalement par ce qui est disponible sur le net, contient de plus en plus de données générées par IA dont l’IA est incapable de juger la pertinence et l’exactitude, et le volume de production généré par IA est bien supérieure à ce que peut produire l’humanité… pendant que la quantité de données disponibles pour l’apprentissage augmente, pendant que la puissance des processeurs augmente, la qualité de la base de donnée d’apprentissage se dégrade et se dégrade vite.

Dans notre activité, nous utilisons nous aussi des outils dont leurs créateurs vendent, de plus en plus cher, les qualités de l’intelligence artificielle générative… Pour le moment, nous n’avons trouvé aucun logiciel en mesure de faire vite et bien un traitement d’image de base – ajustement automatique des niveaux, correction d’exposition et de chromie – et nous voyons quotidiennement les limites de ce qu’arrivent à faire ces logiciels quand il faut supprimer un élément gênant, ajouter le bout d’image qui manque pour transformer une image horizontale en image verticale… Si les smartphones réussissent à faire que toutes les personnes d’un groupe regardent l' »appareil photo » et sourient, ils ne sont pas à l’abris de bugs où le visage de la personne à l’arrière plan est un composite de plusieurs images qui se raccordent mal… et ce qui marche pour les visages ne fonctionne pas pour les mains, les bras et les robes à fleurs !

Nous testons régulièrement de nouveau logiciels… à ce jour, la plupart de ces logiciels sont aussi rapidement désinstallés qu’ils ont été installés : leur niveau de performance étant au mieux inférieurs à nos logiciels habituels… Et pour que ces test soient honnêtes, nous testons aussi, de temps à autre, les versions actuelles de nos logiciels avec de « vieilles » images… et il arrive que la version actuelle fasse moins bien que ce que l’on avait avec des versions antérieures – Topaz Labs Photo AI, qui vient de passer en version 4, fait ainsi moins bien que ce que faisait Gigapixel AI du même éditeur il y a 3 ans avec la même image (ce qui n’enlève rien aux qualités de la dernière mouture de Photo AI sur des vraies images)…

Google, qui vient de mettre au placard son moteur de recherche et le remplacer en douce, c’était annoncé, par un dérivé de Gemini, fait actuellement la promotion de ses nouveaux smartphones et de son logiciel conversationnel. La pertinence des réponses Gemini pour adapter une recette de cuisine, pour procéder à la vidange de sa voiture ou pour enlever de l’huile de vidange sur la peau laisse rêveur…

Luc Julia répète que l’intelligence artificielle est une lubie comme l’informatique en a connu d’autres et que la bulle se dégonflera. Nous savons que nous ne pouvons laisser l’IA faire seule et que son apport, s’il est réel, est limité, que l’intervention humaine est obligatoire et que, contrairement aux prophéties, dans l’état actuel des choses, le savoir faire humain fait la différence.

La photographie analogique, patrimoine culturel immatériel…

Alors que l’on peut, à juste titre, se poser la question de la pertinence de réaliser aujourd’hui des tirages photographiques par les procédés argentiques, divers médias étrangers et des acteurs de la photographie ont annoncé que la photographie analogique devenait un patrimoine culturel immatériel…

Comme souvent, l’information est incomplète et le chemin est encore long avant l’inscription par UNESCO dans la liste des patrimoines culturels immatériels de l’humanité mais c’est une étape.

En fait, suite à la demande du Conseil allemand de la photographie (Deutcher Fotorat e.V.) – association qui a été fondé en 2021 par l’Académie allemande de photographie (DFA, fondée en 1919), la Société allemande de photographie (fondée en 1951), la BFF – Association professionnelle des photographes et concepteurs de films indépendants (fondée en 1969) et FREELENS (fondée en 1995) et qui fédère aujourd’hui 39 organisations –, la Conférence des ministres de la Culture des Länder allemands et le délégué du gouvernement fédéral à la Culture et aux Médias ont annoncé le 26 mars que « la production de portraits sous forme de positifs uniques ou de négatifs destinés à être reproduits à l’aide de procédés photographiques analogiques » sera inscrite au Registre fédéral du patrimoine culturel immatériel par la Commission allemande pour l’UNESCO.

La liste allemande des patrimoines culturels immatériels compte actuellement 168 pratiques culturelles et savoirs faire, la liste française 170 – dont la fabrication du kirsch de Fougerolles, de salaisons au tuyé du Haut-Doubs ou de carcasses de sièges à Liffol le Grand – et l’UNESCO a inscrit fin d’année dernière 66 nouvelles pratiques sur la liste des patrimoines culturels immatériels de l’humanité – dont 3 proposés par la France et 3 par l’Allemagne.

Que la photographie analogique soit ou non un patrimoine culturel immatériel de l’humanité – depuis 2003, l’UNESCO a retenu 788 pratiques culturelles et savoirs faire dans 150 pays –, son inscription sur la liste allemande a de nombreux avantages et pas uniquement outre-Rhin : les techniques mises au point et les savoirs accumulés depuis 1824 vont être documentés, conservés et leur enseignement favorisé – ça n’a l’air de rien à l’époque du numérique mais c’est une très bonne chose –, d’autres pays – dont, pourquoi pas, la France patrie de Nicéphore Niepce, Louis Daguerre, Hippolyte Bayard et de nombreux autres précurseurs – pourraient eux aussi inscrire la photographie analogique sur leur liste nationale et, on peut toujours rêver, la disponibilité des produits et équipements indispensables pourrait être facilitée…

Retenir l’expression photographie analogique est particulièrement intéressant – les procédés argentiques ne sont pas les seuls inscrits et une place est faite aux procédés alternatifs (cyanotype, tirages au charbon, gomme bichromatée… ) – mais il est dommage que la seule pratique retenue soit le portrait photographique.

 

Edit du 18 mai

L’inscription de la photographie à la liste française des patrimoines culturels immatériels est à l’ordre du jour de la 6e édition du Parlement de la photographie qui aura lieu les 17 et 18 juin.

Y’en a déjà (presque) plus…

En février de l’an passéalors que l’offre de papiers structurés disponibles en France s’était réduite comme peau de chagrin après la disparition d’Arjowiggings Scotland, nous avons proposé un certain nombre de papiers en commande spéciale permanente afin de répondre à des demandes spécifiques alors que, le plus souvent, ces papiers n’existaient que dans des formats et/ou conditionnements inadaptés à nos équipements.

Arjowiggings Scotland avait acquis un réel savoir faire en matière de papiers lisses ou structurés destinés à l’impression numérique… expertise que les autres papetiers n’ont pas toujours et qui impose de procéder à des essais préalables avant de déclarer un papier de plus de 120  ou 160 g/m² bon pour le service.

Il y a 14 mois, une dizaine de nouveaux papiers pour l’impression numérique laser, en stock très limité mais avec la garantie d’être réapprovisionné dans des délais courts, ont été ajouté à notre catalogue. Aujourd’hui, cette gamme de papiers en commande spéciale permanente compte 30 références… et nous avons sous le coude plusieurs papiers que nous n’avons encore pu tester.

Les gammes des papetiers ne sont malheureusement pas extensibles à l’infini  : chaque nouveauté implique, souvent, la disparition d’autres références.

La version 250 g de l’Inapa Création Jeans n’est plus au catalogue de son fabricant – son approvisionnement était devenu compliqué depuis quelques temps –, catalogue qui s’est enrichi en fin d’année dernière de nouveaux papiers de création vélin et extra lisse.

Il nous en reste un tout petit stock, stock qui ne pourra malheureusement être renouvelé.

Faire les mises à jour… ou pas

En matière de mise à jour informatique, il y a deux écoles : ceux qui, comme nous, les font rapidement et ceux qui les repoussent autant que faire ce peu.

Les deux méthodes ont leurs avantages… et leurs inconvénients.

Après une longue période sans évolutions, le développement de Jirafeau a repris.

Les changements sont invisibles pour l’utilisateur mais réels, avec, à la clé, une amélioration de la sécurité des données qui lui sont confiées.

Nous nous doutions que le passage à la version 4.6.0 ne serait pas simple, nous avons, contrairement à nos (bonnes) habitudes, attendus… puis testé, re-testé, mis en production, fait marche arrière, testé encore… et avons, faute d’avoir un outil aussi fonctionnel que la version 4.5.0, supprimé toute trace de la version 4.6.x en espérant que les prochaines mises à jour nous apportent et une meilleure sécurité des données et un outils qui réponde à nos besoins et aux habitudes de nos clients.

Cybersquat

Depuis quelques temps, notre instance de Jirafeau est détourné de ce pour quoi elle est là et est utilisé par certains utilisateurs indélicats pour stocker et peut-être partager des fichiers qui n’ont rien à voir avec l’activité d’Inpixya.

Très clairement, Jirafeau n’est pas fait pour ça !

Parce que nous devons nous assurer de la sécurité de nos systèmes d’information et des données qui y sont conservées, et qu’il n’est pas envisageable que Jirafeau se mute en outil de partage de fichiers au contenu qui pourrait ne pas être licite, les fichiers qui squattent notre instance de Jirafeau sont systématiquement supprimés dès leur découverte, celui ou celle qui les a déposé est banni – le périphérique informatique utilisé pour le dépôt de fichier est interdit d’accès à Jirafeau, ce qui implique la conservation sans limite de durée des adresses IP des périphériques des cybersquatteurs.

Et nous étudions sérieusement la possibilité de limiter l’accès à Jirafeau…

 

Les hausses du 1er janvier

La nouvelle année vient, et c’est une habitude, avec une série de hausses de tarifs chez nos fournisseurs, hausses que nous différons autant que faire se peut et que nous ne répercutons que quand il n’est plus possible de faire autrement.

Nous avions fait le choix de ne pas revoir le prix de certaines de nos prestations depuis plusieurs années, il est aujourd’hui nécessaire de procéder à un ajustement.

Voici nos tarifs qui ont augmenté au 1er janvier :

    • les frais d’envoi par courrier postal : hausse de 0,50 € à 1 € TTC suivant le poids de l’envoi ;
    • le tarif des livraison en Relais Colis et Relais Pickup n’est, pour le moment, pas modifié ;
    • parce qu’ils sont liés au tarifs postaux, le minimum de facturation pour l’envoi d’échantillons passe à 6 € TTC et le montant minimal de commande pour bénéficier du franco de port est relevé à 115 € TTC ;
    • le prix des photos d’identité augmente lui aussi et passe à 12 € la planche de 6 photos ;
    • enfin, le prix des numérisations de documents, de retouche et de traitement d’images, de mises en page, créations graphiques et autres travaux similaires augmentent, eux, de 20 % – ces prix n’avaient pas subi de hausse depuis la création d’Inpixya et les tarifs de référence pour ce type de prestations ont augmenté de 20 % entre 2023 et 2024…

Le site sera mis à jour d’ici la fin de semaine.

D’autres hausses auront probablement lieu en janvier, à commencer par celles des impressions numériques laser sur plusieurs des papiers que nous proposons : le prix du papier est à un niveau très supérieur à celui du papier dont nos stocks sont aujourd’hui insuffisants pour les travaux prévu. Sauf promotion chez notre fournisseur, la hausse aura lieu mi-janvier.

Canva n’est pas le bon outil…

Avec plus d’un milliard d’utilisateurs revendiqués, 220 millions d’utilisateurs mensuels, 5 000 collaborateurs de par le monde, un logiciel phare accessible gratuitement pour les particuliers avec des fonctionnalités limitées sur tablette, smartphone ou n’importe quel ordinateur personnel permettant d’accéder à internet, des versions payantes pouvant répondre aux besoins les plus divers, une réserve de modèles variés alimentée par les utilisateurs, l’accès aux banques d’images et d’illustrations Pixabay et Pexels qu’il a racheté, l’acquisition de Serif – l’éditeur des logiciels Affinity que nous utilisons au quotidien – au printemps de cette année puis, fin juillet, de la plateforme de génération de contenu Leonardo, Canva est devenu, en une douzaine d’années, un des poids lourds de la création graphique.

Nous n’aimons pas Canva et facturons, sans états d’âme, des frais de mise au format / mise au normes / corrections colorimétriques / remplacement d’éléments visuels et autres à nos clients qui désirent imprimer « leurs » créations sur nos équipements ou, quand c’est une meilleure solution technique ou économique, chez les prestataires avec lesquels nous travaillons.

Il faut être clair : ces frais sont élevés – à minima 60 € TTC par page – et, trop souvent, sont loin de couvrir le coût du travail nécessaire pour faire du document généré par Canva un document exploitable dans une chaîne graphique professionnelle. Ces frais peuvent même être très supérieurs à ce que coûterait la création, à partir de rien, du document que notre client a longuement créé et souhaite imprimer…

Canva génère 2 types de fichier :

    • du PNG de taille fixe, 1414 × 2000 pixels : le format PNG est un format ouvert, gratuit, qui a été créé pour remplacer le GIF pour lequel Unisys a décidé, un matin, de demander des royalties. Le PNG est destiné à l’affichage sur écran dans une page web : il ne gère pas les couleurs, est mal adapté aux photographies et, comme tous les formats bitmap, est limité en taille d’impression – les 1414 × 2000 pixels offerts généreusement par Canva n’autorisent qu’une impression papier de 12 × 17 cm !
    • du PDF au format du document : le format PDF créé par Adobe a plein d’avantages, à commencer par celui de savoir gérer, ensemble et dans le même fichier, éléments vectoriels et bitmaps… mais, et c’est là que l’on voit les principaux défauts de Canva : certains objets créés vectoriels sont codés comme des bitmaps… et on ne peut prévoir les tracés vectoriels qui seront conservés et ceux qui seront pixelisés tout comme il est impossible d’exporter les polices de caractères sous forme de courbe. S’il est possible de générer un fichier PDF avec des bords perdus, les paramétrer finement ne l’est pas tout comme il est impossible d’attribuer un profil couleur au fichier généré – ce qui fait qu’entre ce que voit à l’écran celui qui crée le document et l’impression, il y a, pratiquement à chaque fois, des mauvaises surprises.

Cerise sur le gâteau, Canva propose, sans qu’il soit nécessaire d’installer quoi que ce soit sur son poste de travail, un catalogue de polices de caractères conséquent… Ce n’est pas parce que Canva met gratuitement ces polices à disposition que ces polices sont gratuites : dernièrement, un de nos clients nous a confié un travail dans lequel la licence d’une seule des polices utilisées  coûtait plus cher que ce que nous lui avons facturé pour la préparation du fichier… s’il n’avait pas été possible de récupérer proprement le texte sous forme vectorielle, nous aurions dû acheter et facturer, au moins deux licences –  une pour notre poste informatique et une pour l’imprimante qui a sorti le travail – de chaque police – il y en avait plusieurs – dont l’utilisation commerciale était interdite !

Il en est de même pour les photos, illustrations et autres éléments graphiques mis à disposition gratuitement : leur qualité est très inégale, certains sont vectoriels, d’autres sont des bitmaps de (trop) petite taille… et ils ne sont, pour la plupart, pas libres de droits – en droit français et européen, la propriété morale d’une œuvre est perpétuelle et non cessible, ce qui veut dire, en clair, que les auteurs de tous les dessins, éléments graphiques et photographies doivent être crédités !

On pourrait croire que les versions payantes améliorent un peu les choses, il n’en est rien.

On aurait pu espérer qu’après l’acquisition de Serif, Canva intègre un semblant de gestion des couleurs… ça n’a, pour le moment, pas été fait.

Canva est un outil que l’on devrait réserver à ce pour quoi il a été conçu : la création de documents ou d’illustrations, sans prise de tête, destinés à l’usage personnel de son créateur, documents ou illustrations qui, s’ils sont imprimés, le sont sur une imprimante personnelle en étant pas trop exigeant sur la finesse et le rendu coloré.

Pour le reste, il vaut mieux se tourner vers des vrais outils comme la Creation Suite d’Adobe, les logiciels Serif Affinity – Serif, qui, comme écrit plus haut, est désormais propriété de Canva –, le trio open source Inkscape, Gimp, Scribus ou d’autres comme Krita.

Microsoft Publisher, même s’il est presque moins pire, n’est pas meilleur…

Libre Office a ses limites… mais a l’avantage sur Canva et Microsoft Publisher de produire des fichiers PDF très propres.

Bien évidemment, ces logiciels doivent être installés sur un poste informatique, ne sont pas fournis avec un nombre de modèles quasi infini et une multitude de polices de caractères et demandent du temps pour être maîtrisés… mais le risque de retrouver « sa » création réutilisée par quelqu’un d’autre pour tout autre chose est nul alors qu’avec Canva…

 

Edit du 10 janvier

Il n’y a pas que nous qui n’aimons pas Canva : les multiples éléments invisibles qui encombrent les fichiers PDF générés posent aussi des problèmes aux logiciels d’analyse de curriculum vitae utilisés par certains services de ressources humaines… au point qu’il est aujourd’hui recommandé de ne plus utiliser les modèles de CV proposés par Canva, de faire des choses plus simples, sans fioritures… dans des outils bureautique classiques.

La prise de rendez-vous fait peau neuve…

Les divers modules de notre site internet sont mis à jour régulièrement…

Ces mises à jour apportent  souvent des améliorations de sécurité et de stabilité, parfois des corrections de bogues et, plus rarement, de nouvelles fonctionnalités, nouvelles fonctionnalités réelles mais invisibles aux yeux de celui ou celle qui visite notre site.

Dans sa dernière mise à jour, le module qui gère la prise de nos rendez-vous en ligne à reçu une nouvelle interface utilisateur… et des choses qui n’étaient pas paramétrables le sont devenu.

Nous venons de procéder à la mise en place et au paramétrage de la nouvelle interface et avons opté pour une interface utilisateur aussi proche que possible de l’ancienne.

Ce qui est le plus visible ? Un certain de nombre de « scories de traduction » ont disparu… et ce que voit e visiteur du site, les courriels qu’il reçoit s’il prend rendez-vous en ligne, ce que nous voyons est maintenant dans un français correct et dans un format compréhensible.

 

Edit du 16 décembre

Nouvelle mise à jour, nouvelle fonctionnalité…

Nous l’attendions depuis longtemps, très longtemps… la mise à jour de ce matin apporte enfin la possibilité de prendre rendez-vous avec seulement quelques heures de délai.

Nous avons fixé, arbitrairement, ce délai à 4 h… et l’expérience montera si cette durée est adaptée à notre activité.

 

Edit du 31 janvier

Encore quelque chose d’indispensable que l’on n’attendait plus : les créneaux horaires qui sont déjà réservés ou bloqués ne sont plus proposés…

Mises à jour…

A un rythme un peu forcé, nous avons procédé ce week-end à la mise à jour de plusieurs pages de notre site :

    • correction du bug détecté vendredi sur les calculateurs de prix pour les impressions numériques laser ;
    • ajout des Crownboard Prestige blanc et Crownboard Craft blanc pour les chevalets des calendriers et albums et dos des calendriers à accrocher.

D’autres mises à jour sont prévues prochainement.