De nouvelles options de livraison…

Parce qu’il y a des cas où, même si rien ne vaut le contact humain, c’est l’option la plus simple pour récupérer ses colis, nous proposons, depuis peu, l’envoi de vos travaux en Locker Mondial Relay – pour le moment, parce que ça n’apporte rien de plus que les autres modes de livraison que nous proposons en ajoutant de nombreuses contraintes  supplémentaires et contradictoires avec les cahiers des charges de La Poste et de Relais Colis,  notre décision de ne plus proposer d’envois de colis en Point Relais Mondial Relay n’est pas remise en cause.

Peuvent être expédiées en Locker des tirages et impressions à plat jusqu’au format 35 × 60 cm – ce qui est plus grand que ce qui  est possible en envoi postal… –, le délai de livraison annoncé est de 3 à 5 jours – ce qui est un peu plus long que les autres options de livraison que nous proposons – mais la plupart des consignes automatiques sont accessibles 7 jour sur 7, 24 heures sur 24 et c’est, en règle générale, le mode de livraison le moins onéreux.

La mise à jour des pages concernées de nos sites – site principal et boutique – implique la remise à plat du calcul de nos fais de livraison et sera faite d’ici mi-décembre… L’actualisation des frais en livraison pour les envois postaux viendra, elle, faite autour du 25 décembre pour les envois effectués à compter du 1er janvier 2026 – et nous savons depuis un moment que la hausse sera significative.

Tester, tester encore…

Depuis plus de deux cent ans, ceux que l’on défini aujourd’hui sous le vocable de photographes expérimentent, détournent et inventent de nouvelles techniques… techniques qui n’ont qu’un but : produire et fixer des images fugitives…

Au milieu du XIXe siècle, en ayant des exigences de qualité dont ils sont les seuls à avoir besoin, en faisant la promotion de certains moulins et en disant  haut et fort que d’autres productions n’étaient pas utilisables, en refusant les progrès techniques dont l’objectif était de produire des papiers moins chers en plus grande quantité, Gustave Le Gray et ses confrères excédaient les papetiers de l’époque.

De ces mauvaises habitudes est né un savoir faire très particulier des photographes : tester, tester encore et le faire avec rigueur.

Les papetiers ont aujourd’hui intégré le fait que leurs produits n’étaient pas si universels que ça : le papier a de multiples utilisations et si certains usages sont garantis, d’autres sont déconseillés ou doivent être validés par des essais préalables, essais à charge de l’utilisateur final… auquel il appartient, in fine, de juger de la conformité du résultat à ses attentes.

Comme les photographes de la première moitié du XIXe siècle, nous utilisons souvent des papiers pour un usage pour lequel ils ne sont pas prévus…  parfois ça marche, parfois… Et nous testons régulièrement des nouveautés parce que ça pourrait plaire ou pour répondre des demandes spécifiques de nos clients… C’est ainsi que nous avons essayé divers supports, papiers classiques, calques, synthétiques, adhésifs… et nous testons avec la même rigueur les papiers qui sont annoncés comme parfaitement adaptés à nos équipements.

Les papiers Pairie de la Papeterie de Mandeure – un papier avec des inclusions d’herbe sauvage –, Brasila de Gmund – un papier avec des veinages de bois – ont donné les résultats attendu – même si Gmund déconseille l’impression numérique laser sur Brasilia –, le Cromàtico – un calque annoncé comme très transparent prévu pour l’impression numérique… mais pas suffisamment opaque pour notre imprimante numérique laser, pas du tout adapté à l’impression jet d’encre… et bien plus cher et pas plus transparent qu’un calque de base – et le papier de pierre – un faux papier fait à partir de poudre de marbre et de résine plastique qui n’offre, selon nous, pas grand chose de plus que d’autres papiers indéchirables produits moins loin  – ont, eux été recalés…

Et ces tests permettent tout autant de vérifier le rendu des papier et la pertinence des profils d’impression que de fournir à nos clients des informations détaillées et vérifiées sur les papiers que nous proposons.

L’orange qui manquait…

Le nouvel orange fluo et les papiers fluorescents Sunifluo
Le nouvel orange fluo et les papiers fluorescents Sunifluo

Traditionnellement, les affiches fluorescentes sont jaunes, vertes, roses, rouges… ou orange.

Parce que ce c’est un peu loin de notre cœur d’activité et que nous n’avons qu’une demande occasionnelle, nous n’avons en stock qu’un rouleau, entamé, réduit de papier jaune fluorescent pour impression sur notre traceur Epson, traceur qui accepte les papiers d’une largeur maximale de 61 cm… et quelques feuilles de papier jaune, rose, vert et rouge destinées à l’impression numérique laser pour produire de l’affiche fluorescente économique – même si, avec moultes précautions, il est possible d’imprimer sur ces papiers des affiches jusqu’au format 60 × 80 cm, marges comprises, en impression jet d’encre pigmentaire.

Bien que ce coloris puisse être intéressant – il est plus sombre que le jaune mais nettement plus lumineux que le rouge ou le rose – nous ignorons pourquoi nos fournisseurs qui proposent du papier en petit conditionnement ont fait le choix de ne pas référencer de papier orange fluorescent.

Ça devait arriver… un de nos clients a besoins d’affiches jaunes fluo… et d’affiches fluorescentes dans un autre coloris, de préférence orange.

Plusieurs de nos fournisseurs proposaient des papiers fluorescents dans d’autres coloris que le jaune pour traceur, mais, surprise, aujourd’hui, faute de demande, les papetiers ont fait le choix de ne plus proposer ce papiers en largeur de moins de 91 cm de large…

Nous avons fini par trouver et devrions être livré courant de semaine prochaine…

Ce nouveau papier a un grammage annoncé de 100 g/m² alors notre papier jaune fluorescent actuel a un grammage de 90 g/m².

Nous recevrons également un rouleau de papier jaune fluorescent dans le même grammage, papier destiné à remplacer le papier actuel après épuisement du stock. Pendant une période transitoire, nous proposerons les 2 papiers à nos clients – la version 100 g/m² est sensiblement plus chère que la version 90 g/m²… parce que le prix du papier a sensiblement augmenté depuis l’achat du rouleau dont on commence à voir le bout.

Arrivera, dans la même livraison, un papier affiche dos bleu en 130 g/m². Ce papier, annoncé comme plus simple à poser à la colle que le papier couché 120 g que nous avons en gamme, est relativement cher, mais c’est aujourd’hui la référence en matière de papier affiche.

 

Edit du 24 novembre

Les 3 papiers sont arrivés aujourd’hui – nous pensions les recevoir demain –, les essais et production d’échantillons sont en cours.

Les nouveaux papiers fluorescents ont une meilleure tenue et acceptent mieux l’encre que le papier jaune dont nous voyons la fin du rouleau mais il faut un peu pousser l’encrage sur le papier orange fluorescent pour avoir des noirs qui fassent noir… Coté épaisseur, le nouveau papier jaune fluorescent est sensiblement plus épais que l’actuel – 0,12 mm contre un peu plus de 0,10 mm –, l’épaisseur du papier orange fluorescent est du même ordre de grandeur que le l’actuel jaune fluo.

Visuellement, les papiers jaunes fluorescents sont très proches mais hors de la plage de mesure du Colormunki – Colormunki qui, tout comme notre densitomètre, détecte une différence entre les deux papiers –. Il faudra ruser pour simuler la couleur du papier orange fluorescent, le Colormunki refusant l’obstacle ! – Nous avions réussi, sans ruser, à mesurer les papiers Sunifluo.

Le papier dos bleu est, logiquement, plus bleu que le couché 120 g blanc « de base » dont il fait la même épaisseur.

Nouveaux papiers et quelques changements…

Plusieurs nouveautés début novembre dans notre gamme de papier :

    • pour jouer avec la transparence, nous proposons depuis peu les calques Inapa Clear en 110, 150 et 210 g/m². Ces papiers font partie de notre gamme en commande spéciale permanent… mais, étant incompatibles avec notre imprimante Xerox, sont destinés exclusivement à l’impression sur notre traceur Epson SC-P 7500 ;
    • les adhésifs Fasson Digital PET Argent mat 80 g et Fasson Digital PP Transparent enlevable 59 g viennent compléter notre offre d’adhésif pour l’impression numérique laser. Le premier est similaire à l’adhésif blanc que nous proposions déjà avec une finition argentée mat pour un rendu d’exception ; le second est un adhésif transparent qui peut être retiré sans laisser de traces.

Ces papiers sont en production, les échantillons sont disponibles, la mise à jour de notre site va demander un peu de temps.

 

Et quelques changements à venir :

    • les papiers Pergraphica ne sont plus fabriqués dans des conditionnements adaptés à notre activité. Ces papiers sont maintenant proposés dans la limite de nos stocks disponibles ;
    • notre stock de Curious Metallics Perle Akoya diminue rapidement. Ce papier, qui était produit par Arjowinggins Scotland, sera remplacé prochainement par le Curious Metallics Ice silver aux caractéristiques très proches ;
    • Après la reprise des activités d’Inapa France par Ovol début mars, les papiers Inapa Creation et Inapa Clear vont changer de dénomination… Les fabrications restant identiques, nous ne prévoyons pas de produire de nouveaux échantillons et changerons à notre tour les dénominations de ces papiers en fonctions de nos approvisionnements ;
    • … et Ovol vient d’annoncer un nouveau papier de création avec une finition rugueuse (rough) et une finition lisse (smooth). Ce papier pourrait prendre la suite des Pergraphica ou en gamme permanente si les conditionnements sont adaptés à notre activité ou, dans le cas contraire, en commande spéciale permanente. A la différence de Mondi, Inapa – Ovol donne peu d’infos les certifications obtenues par ses papiers : rien ne dit qu’ils seront à la fois ISO 9706 et garantis contact alimentaire…

 

Edit du 2 décembre

Quelques informations supplémentaires sur le « remplacement » des papier Pergraphica :

    • à ce jour, seul notre stock de Pergraphica Rough en 240 g est à un niveau bas et nous ne pouvons garantir qu’il sera suffisant pour répondre aux demandes courantes…
    • les nouveaux papiers de création Inapa – Ovol rentrent progressivement en stock chez notre fournisseur…  Comme indiqué plus haut, Inapa – Ovol donne peu d’infos techniques et les infos disponibles arrivent au compte-gouttes… La version « rough » de ce nouveau papier est annoncée plus rugueuse que le Pergraphica, il est / sera disponible en plusieurs teintes – un blanc froid, un blanc chaud, une teinte intermédiaire et une version recyclée – dans les grammages qui nous intéressent – 240-250 g et 300 g – et une finition intermédiaire s’ajoute aux versions rough – rugueux – et smooth – lisse –. Pour le moment, nous ne disposons d’aucune information sur les normes auxquelles répondraient ces nouveaux papiers alors que le Pergraphica coche toutes les cases – ISO 9706 pour la conservation, ISO 9001 pour la qualité, ISO 14001 pour l’environnement, ISO 45001 pour la santé et sécurité au travail dans le process de fabrication, production neutre en carbone, absence de métaux lourds, apte au contact alimentaire…
    • nous prévoyons plusieurs achats de papier courant décembre :
      • plusieurs papiers de la nouvelle gamme Inapa – Ovol suivant disponibilité – à ce jour, 19 papiers sont disponibles dans les grammages qui nous intéressent sur une gamme qui pourrait en compter 30 –. Si les tests sont concluants, ces papiers seront intégrés à notre offre de papiers en commande spéciale permanente ;
      • l’Olin Design Rough en 240 et 300 g rejoindra notre gamme de papiers. Certifié ISO 9706, répondant aux normes ISO 9001 et ISO 14001, produit sans chlore, il fait presque aussi bien que le Pergraphica et  a une épaisseur et d’une rugosité similaire et est garanti pour l’impression avec nos équipements… mais est d’un blanc plus froid que le Pergraphica, contient des azurants optiques et n’est pas garanti contact alimentaire. La gamme Olin Design compte également une version Smooth – lisse – dans la même teinte et les mêmes grammages, formats et conditionnements ; les autres teintes ne sont actuellement pas proposées dans des formats, grammages, finitions, conditionnement adaptés à notre activité ;
      • parce que notre fournisseur a encore un peu de stock dans le conditionnement qui nous convient, du Pergraphica Smooth en 240 g sera sur notre prochaine commande et nous aurons de quoi voir venir…

L’avenir est là…

Début octobre, Serif, l’éditeur d’Affinity Photo, Designer et Publisher invitait ses utilisateurs à « découvrir avant tout le monde l’avenir »… et fermait le forum de discussion – remplacé par un Discord créé fin septembre –, bloquait l’achat de nouvelles licences…
Aucune information officieuse, aucune rumeur, un teasing minimal : il faut attendre le 30 octobre…

Pendant presque un mois, certains annonçaient la sortie d’une nouvelle version majeure – la version 2 était sortie le 10 novembre 2022 et le passage à une une version 3 devenait probable – ou le remplacement de la licence perpétuelle par un abonnement…

Le 30 octobre, depuis Sydney, Ash Hewson, le CEO de Serif, lors de la Canva’s World Tour keynote – Canva a acheté Serif au printemps 2024 –, a annoncé, sous les applaudissements, la fusion d’Affinity Photo, Designer et Publisher dans Affinity Studio et un grand changement : « Nous voulons redonner la liberté aux créatifs. Affinity est désormais totalement gratuit, pour tout le monde, et pour toujours ».

Nous utilisons les logiciels de la suite Affinity depuis longtemps, nous utiliserons Affinity Studio by Canva… mais il est probable que, comme, entre autres, pour des détails d’ergonomie, nous travaillons beaucoup plus avec les logiciels de la v1 qu’avec ceux de la v2, l’adoption d’Affinity Studio – la version 3 – prendra du temps.

Ce que change l’annonce du 30 octobre :

    • la suite Affinity était gratuite pour les écoles primaires et secondaires et pour certaines association, Affinity Studio l’est désormais pour tout le monde, particuliers, associations et entreprises compris, et restera gratuit…
    • il est nécessaire de créer un compte Canva pour télécharger et installer Affinity Studio
    • mais seuls les propriétaires d’un compte Canva Pro ont accès aux fonctions de l’IA générative de Canva ;
    • le transfert d’un document, d’une image ou d’un dessin vectoriel dans Canva est facilité ;
    • Affinity Photo, Designer et Publisher ne recevront plus de mises à jour – la version 2.6.5 est sortie le 27 octobre…
    • Canva Studio utilise un nouveau format de fichier, nouveau format qui va, de fait, bousculer les habitudes, mais importe sans soucis les fichiers produits par la v1 et la v2.

Et il y a des nouveautés qui n’en sont pas tant que ça :

    • les fichiers produits portaient des extension différentes mais il était, depuis la v1 d’Affinity, parfaitement possible d’ouvrir un fichier produit dans un des logiciels de la suite dans un autre : un dessin vectoriel fait dans Affinity Designer pouvait parfaitement être ouvert dans Affinity Photo ou Affinity Publisher et vice versa…
    • Affinity Publisher fonctionnait déjà comme chef d’orchestre pour les utilisateurs des autres logiciels de la suite : sans quitter le logiciel, il était possible de passer, d’un simple clic, à l’interface d’Affinity Photo ou d’Affinity Designer pour faire des opérations non supportées dans Publisher.

Certains  de nos clients utilisent Microsoft Publisher qui prendra bientôt sa retraite – le sursis via Office 365 prendra fin le 1er octobre 2026 –, nous allons les inciter à basculer vers Affinity Studio, plus simple d’utilisation que Scribus – qui sait importer les fichiers MS Publisher –, Inkscape et Gimp ou Krita…

Et il est probable que nous devenions moins compréhensifs avec celles et ceux qui utilisent Canva pour préparer des documents dont ils nous confient l’impression : Canva a un certain nombre de défauts, l’adaptation des fichiers est chronophage et le prix facturé pour cette adaptation est souvent loin de couvrir le coût de l’opération…

Affinity Studio est déjà disponible pour Windows et MacOS, la version pour iPad devrait l’être prochainement. Serif a la mauvaise habitude de faire évoluer régulièrement ses logiciels, ce sera toujours le cas – l’achat de Serif par Canva il y a un an et demi n’a rien changé : les mises à jour sont régulières et les équipes de Serif sont à l’écoute des utilisateurs.

Bien évidemment, les outils que nous proposons pour les utilisateurs d’Affinity Publisher comme les grilles de calendrier le seront également pour Affinity Studio.

Quand il faut, il faut…

Parce que nous savons que ça peut ne passer aussi bien qu’annoncé, nous avons repoussé autant que possible le passage à Windows 11 – Microsoft met fin au support de WIndows 10 dans 5 semaines –… Et parce que nous avons enfin les quelques jours nécessaires pour le faire, nous avons lancé la migration la nuit dernière.

Pour le moment, ça s’est (presque) bien passé… ou plutôt moins mal qu’attendu – quelques disfonctionnements dans des programmes mis à jour par Windows lors de la mise à jour… et dont Windows a retrouvé des scories de très anciennes versions ou des raccourcis manquants ou en double –, les test des multiples logiciels que nous utilisons sont en cours tout comme ceux de nos nombreux périphériques informatiques – et, si Windows ne nous a pas averti de possibles disfonctionnements, ce sera fort si tout fonctionne du premier coup. Les tests vont continuer tout le week-end.

Notre site internet est pleinement fonctionnel, notre messagerie fonctionne… il est possible nous ne soyons pas aussi réactif qu’habituellement ce lundi.

 

Il faut suivre le mouvement…

Avant, c’était simple : les impressions grand format se vendaient, en gros, en fonction du coût matière soit en tenant compte de la surface du tirage et du papier utilisé – papier dont le prix varie d’un facteur 1 à 10 pour les papiers photo et fine art que nous proposons… et les papiers photo les plus chers du marché ne pas (encore) à notre catalogue.

Pour faire passer les fortes hausses des prix du papier de 2022 et 2023, certains de nos confrères ont « simplifié » leur grille tarifaire : les tirages ne sont plus vraiment facturés en fonction de leur surface – les petits formats sont facturés, en proportion, plus cher que les grands – et les prix du papier se retrouvent moins dans le prix des tirages… C’est intéressant pour les adeptes des grands formats sur papier cher, ceux qui préfèrent des formats plus petits sur des papiers abordables payent le manque à gagner. Continuer la lecture de « Il faut suivre le mouvement… »

Du papier photo classique…

Le 19 août 1839, en publiant le détail de l’invention du daguerréotype, la France faisait don de la photographie au monde…

Pas de papier dans l’invention de Louis Daguerre et Nicéphore Niepce : l’image, unique, était sur une plaque de cuivre argentée et polie… Les procédés photographiques mis au point à la même époque par Hippolyte Bayard et William Fox Talbot donnent eux des images sur papier.

Au milieu du XIXe siècle, l’industrie papetière naissante est en pleine mutation : les fibres issues de la récupération de chiffons cèdent petit à petit la place aux fibres de bois pour produire en quantité un papier moins cher. Les premiers photographes, qui font un usage détourné des papiers de l’époque, ne voient pas d’un bon œil ce progrès et préfèrent les productions traditionnelles : Talbot utilise les papiers des moulins de J. Whatman Turkey en Angleterre, Gustave Le Gray préconise les papiers Canson d’Annonay ou Lacroix d’Angoulême… Continuer la lecture de « Du papier photo classique… »

Pour en coller partout…

Ça ressemble à un papier « de base » mais… au delà de la planche d’étiquettes A4 pour l’impression d’étiquettes adresse, l’offre de supports d’impression adhésifs est relativement limitée et les conditionnements proposés pas vraiment adaptés à notre activité – quand nos clients demandent quelques autocollants… le conditionnement minimal est, si on n’est pas trop difficile sur le type et la qualité de l’adhésif, d’au moins 100 feuilles quand ce n’est pas 250 voire 500.

Ce sont 4 adhésifs destinés à l’impression numérique laser que nous venons de tester : Continuer la lecture de « Pour en coller partout… »

Microsoft après We Transfer…

Les temps sont durs pour les entreprises de la tech…

Le 10 juin dernier, Microsoft était entendu lors de la dernière séance publique de la commission d’enquête sénatoriale sur les coûts et les modalités effectifs de la commande publique et la mesure de leur effet d’entraînement sur l’économie française. La commission d’enquête a rendu son travail le 9 juillet.

Comme l’écrit Thierry Noisette sur Zdnet le 13 juillet, si les lacunes des procédures d’achat publiques comme les mauvaises habitudes de Microsoft sont connues de longue date, l’absence de pilotage par l’État pose question…  Continuer la lecture de « Microsoft après We Transfer… »